En Provence...

provenceCassis
Cassis (Carsiicis portus à l'époque romaine, 1er siècle A.C.) est une commune du département des Bouches-du-Rhône et de la région administrative Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle est caractérisée par les falaises et les calanques présentes sur son territoire et pour les vins de Cassis (blanc, mais aussi rosé) produits dans la région. La devise provençale de la commune attribuée à Frédéric Mistral est « Qu'a vist Paris, se noun a vist Cassis, n'ai rèn vist », ce qui signifie « Qui a vu Paris et pas Cassis, n'a rien vu ». Le nom de ses habitants est Cassidain, du provençal cassiden, qui peut avoir une origine ligure. Le cap Canaille, situé entre Cassis et La Ciotat est l'une des plus hautes falaises maritimes d'Europe dont le point culminant, 394 mètres, se situe à la Ciotat au-dessus du sémaphore. Ces 11 km de côtes ont 2 sites classés : le massif des Calanques depuis 1975 et le cap Canaille depuis 1989. Ces deux sites et la ville sont visibles du haut de la route des Crêtes reliant Cassis à La Ciotat.
les Baux de Provence
Les Baux-de-Provence sont une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Les Baux, situés dans le massif des Alpilles, sont aujourd'hui principalement un site touristique avant d'être un lieu de vie. Ils sont un des plus beaux villages de France et accueillent plus d'un million et demi de visiteurs par an1. 22 habitants vivent encore dans l'enceinte des Baux — la partie haute du village — et 381 habitants pour toute la commune. Le mistral y souffle violemment du nord ou du nord-ouest, particulièrement en hiver et au printemps. Les Alpilles dévient le vent, mais il souffle aux Baux pratiquement aussi fort que dans le nord de la chaîne. Le mistral souffle fortement 100 jours par an en moyenne et faiblement 83 jours, ce qui ne laisse que 182 jours sans vent par an d'où une réalité : il n'y fait pas pas très bon vivre comme en témoigne la démographie médiocre du village et de ses alentours3. On distingue deux types de mistral : le « mistral blanc », qui dégage le ciel en totalité et accentue la luminosité, et le « mistral noir », plus rare, qui est accompagné de plui Le nom de Baux-de-Provence provient de l'occitan baus ('baws) selon la norme classique, en provençal baus selon la norme mistralienne, qui signifie « en aplomb », « falaise » ou « escarpement rocheux ». Cette racine se retrouve dans d'autres toponymes, comme le Baou de Saint-Jeannet. Par le décret du 7 août 1958, journal officiel du 12 août 1958 avec effet au 13 août 1958, Les Baux deviennent Les Baux-de-Provence. La commune se nomme en occitan provençal Lei Bauç de Provènça selon la norme classique ou Li Baus de Prouvènço selon la norme mistralienne.
La bauxite, minerai d'aluminium, tient son nom de cette commune où elle fut exploitée pour la première fois.
Le Colorado provençal
Le Colorado provençal ou ocres de Rustrel est un site semi-naturel, puisqu'il fut exploité depuis la fin du XVIIe siècle jusqu'en 1992 où le dernier ocrier prit sa retraite. Le site est situé sur la commune de Rustrel dans le département de Vaucluse et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Les paysages insolites qu'il offre sont constitués de sable ocreux d'origine latéritique. Le Colorado provençal s'étend sur plus de 30 hectares. Ses sentiers en terre permettent de découvrir des falaises érodées comprenant plus de 20 teintes d'ocre. Le « cirque de Barriès », le « cirque de Bouvène », les bassins de décantation, les cheminées de fée, le « Sahara », les tunnels, le lit de la Dôa (la petite rivière locale) offrent des décors variés aux randonneurs. Le chemin de grande randonnée GR 6 traverse le site.
Dans le Colorado de Rustrel, depuis leur dépôt et leur exposition aux conditions atmosphériques, les strates d'ocre ont subi, par processus d'altération de type latéritique, une forte oxydation ayant conduit à la formation d'oxy-hydroxydes et d'oxydes de fer, respectivement appelés goethite (FeOOH) et hématite (Fe|2|O|3|), dont les proportions relatives font varier les nuances de couleurs que ces pigments confèrent aux sables ocreux. Il s'y mêle des sables blancs où domine la kaolinite (Al4Si4O10OH8)1. La présence de manganèse, d'aluminium et de silicates sont à l'origine d'autres gammes de couleurs et des 24 teintes officiellement recensées, qui vont du gris au vert, en passant par le jaune et le rouge1. Ces dépôts marins sont surmontés par des dépôts plus grossiers d'origine continentale, dépourvus initialement de glauconie et donc particulièrement blancs, eux-mêmes surmontés encore d'une cuirasse ferrugineuse.
Arles
Arles est une commune du département des Bouches-du-Rhône, en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Il s'agit de la plus grande commune de France métropolitaine avec quelque 75 893 hectares de superficie (malgré plusieurs déductions successives)1. La ville est traversée par le Rhône et se trouve entre Nîmes (à 27 km à l’ouest) et Marseille (à 80 km à l’est). Le nom d’Arles dérive d’Arelate, mot d’origine celtique signifiant lieu situé près de l’étang, par référence aux terrains marécageux qui entourent la cité. Durant l'âge du fer (VIIIe siècle avant J.-C.), Arles constitue l'un des principaux oppida de la Celtique méditerranéenne. Cette ville, dont les habitants sont appelés Arlésiens, a en effet plus de 2 500 ans. Des monuments remarquables ont été construits pendant l’Antiquité à l’époque romaine, comme le théâtre antique, les arènes, les alyscamps ou encore le cirque romain. En 2008, le plus vieux buste connu de Jules César a été découvert dans le Rhône. En raison de son important patrimoine, la cité est classée ville d'art et d'histoire et ses monuments romains et romans sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité depuis 1981.

La tour Fondue -Porquerolles
La Tour Fondue, est un ancien fortin, situé au sud de la presqu'île de Giens, dans le département du Var et sur la commune d'Hyères.
Le fort est vestige d'une ancienne tour défensive du XVIIe siècle construite sous Richelieu, au sud de la presqu'île, elle permet de localiser facilement le port réservé aux navires desservant l'île de Porquerolles.
Appelée aussi "Batterie du Pradeau", la Tour Fondue est inscrite aux Monuments historiques en 19891.
L'ile de Porquerolles est liée à ma vie : voir la partie "Marin".

En Corse...

corse La Corse est une île de la mer Méditerranée et une région française, ayant un statut spécial (officiellement « collectivité territoriale de Corse »), composée de deux départements : la Corse-du-Sud et la Haute-Corse. Après avoir fait partie pendant quatre siècles et demi de la République de Gênes (qui laissait une large autonomie à ses communautés locales), elle se déclara indépendante le 30 janvier 1735 et donna le jour à la première Constitution démocratique de l'histoire moderne (1755), avant d'être cédée par Gênes à la France le 15 mai 1768, puis soumise militairement par la France lors de la bataille de Ponte Novu, le 9 mai 1769. Depuis 1735, elle a eu pour hymne le Dio vi Salvi Regina. Elle est surnommée île de Beauté.
La Corse est située à 177 km environ au sud-est de la Côte d'Azur, à l'ouest de la Toscane (85 km) et au nord de la Sardaigne (12 km). Île plutôt boisée et montagneuse, sa côte méridionale est formée de hautes falaises (Bonifacio). La distance la plus courte entre la France continentale et l'ile, du cap Martin (Alpes-Maritimes) à la pointe de la Revellata (près de Calvi), est de 170 km ; l'île est située à 85 km de l'Italie continentale et à 28 km des îles de l'archipel toscan (Capraia). La distance entre le point Nord et le point Sud de la Corse est de 184 kilomètres. La Corse possède un réseau ferroviaire de deux lignes seulement : Bastia - Corte - Ajaccio et Ponte-Leccia - L'Île-Rousse - Calvi. Ce réseau est géré par la CFC (Chemins de Fer de la Corse) et est à voie métrique.
La langue corse est le véhicule de la culture corse, riche de ses chants, ses polyphonies, ses proverbes, et de ses expressions
Ajaccio
Ajaccio (en corse Aiacciu, prononcé [a.ˈjaˑ.t͡ʃŭ], ou Aghjacciu par les Corses de l'intérieur) est une commune française, préfecture du département de la Corse-du-Sud, préfecture de la région Corse et siège de la collectivité territoriale de Corse.
Ajaccio, « cité impériale » et autrefois « cité du corail », est aussi connue pour être la première ville française libérée durant la Seconde Guerre mondiale, le 9 septembre 1943. La Corse sera totalement libérée de l'occupation le 4 octobre 1943 avec la libération de Bastia.
Lieux et monuments que j'ai personellement visités
De nombreux monuments sont consacrés à Napoléon:
Monument de la place du Casone
- La maison dans laquelle il naquit et vécut, est maintenant un musée national : le Musée de la Maison Bonaparte
- La chapelle impériale abrite les sépultures de ses parents, ainsi que de ses frères et sœurs.
- Cathédrale, ou cathédrale Santa Maria Assunta, de la Renaissance, dans laquelle Napoléon a été baptisé, avec son orgue de Cavaillé-Coll.
- Le musée Fesch abrite une très importante collection de peintures italiennes de la Renaissance.

Bastia
Bastia est classée Ville d'Art et d'Histoire.
L’ancien palais des gouverneurs génois héberge le musée municipal ancien musée d'ethnologie Corse.
Ancienne forteresse appuyée au donjon et agrémentée d’un campanile du XVIe siècle, le palais des gouverneurs monte une garde séculaire sur Terra-Nova et par delà les remparts, sur le Vieux-Port. La ville a engagé un ambitieux programme de rénovation de ce palais classé monument historique sous la direction des architectes Daniel Cléris et Jean-Michel Daubourg. Outre la rénovation du palais les travaux ont permis de rebâtir un quart du monument qui avait été détruit en 1943 lors des combats pour la libération de la Corse. Le parti de reconstruction adopté par les architectes respecte les tracés régulateurs et les volumes d'origine mais s'affirme comme une architecture du XXIe siècle rejetant tout pastiche.
- Le jardin des gouverneurs, dont l'accès se fait par le musée, offre une vue remarquable.
- L’église Sainte-Marie, ancienne cathédrale édifiée à partir de 1495, fortement remaniée au début du XVIIe siècle, se trouve en plein cœur de la citadelle. Derrière cette église, la chapelle Sainte-Croix connaît une ornementation intérieure exubérante. La chapelle a son trésor : le Christ des Miracles, que vénèrent par tradition les Bastiais les plus fervents, trouvé en 1428, flottant sur les eaux, par deux pêcheurs.
L'église Saint-Jean-Baptiste est un des monuments les plus emblématiques de la ville de Bastia. Dominant le Vieux-Port, elle fut construite à partir de 1583 mais a connu de nombreux travaux supplémentaires à travers les âges. Dédiée à Saint Jean-Baptiste, elle arbore une haute et noble façade classique, en grande partie cachée par les immeubles voisins, et un intérieur baroque du XVIIIe siècle. Cette église possède en outre un mobilier remarquable, tels qu'orgue, chaire et tableaux de la collection du cardinal Fesch.
Bonifacio
Bonifacio, située à l'extrême sud de la Corse, est la commune française la plus méridionale de la France métropolitaine. Au sud, les Bouches de Bonifacio séparent la Corse de la Sardaigne italienne. Elle constitue après Porto-Vecchio la deuxième agglomération du Freto, microrégion s'étendant depuis Bonifacio jusqu'à Conca au nord et Monacia-d'Aullène à l'ouest en passant par Figari et son aéroport. La ville comporte un port et une citadelle. Celle-ci est établie sur un cap dominant la mer par une falaise qui est une « veine » de calcaire, roche assez rare en Corse dont le sol est plutôt granitique. Ce cap est long de 1 600 mètres et large de 100 mètres.
Le golf de Sperone
Je l'ai joué !!!
Le golf est aujourd'hui considéré comme un des plus beaux du monde, surtout grâce au trou numéro 16 qui propose de jouer par dessus une mer turquoise éblouissante. Créé au début des années 1960 par Jacques Dewez, un ancien pilote de chasse fou de sport automobile recyclé dans l'immobilier. En 1962, Jacques Dewez traite avec le « vieux » Serafino, maire de Bonifacio, et achète le domaine de Sperone. Il acquiert 130 hectares d'un seul tenant pour 1 franc le mètre carré. De plus, pour sa desserte, Jacques Dewez impose la construction d'un aéroport international à Figari, en plein maquis, à 25 km de là. Un site archéologique de 4 hectares, comprenant une vaste villa romaine et une cale sèche, est présent non loin du golf.
Village des tortues
Situé sur la commune de Moltifao au lieu-dit Tizzarella, à l'entrée des Gorges de l'Asco, sur la rive sud de la rivière Asco dont il est séparé par la route D147, le village des Tortues (U Paese di e Cuppulate en langue corse) a été aménagé sur un espace de 10 ha. Le village des Tortues est géré par le P.N.R.C., aidé en cela par la commune de Moltifao, la Direction Régionale de l'Environnement, la Collectivité Territoriale de Corse, la SOPTOM (Station d'Observation et de Protection des Tortues et de leurs Milieux) Corse, la SOPTOM Gonfaron et la Direction Départementale de la Jeunesse et des Sports. Le village a pour vocation d'informer et de sensibiliser le public à la protection de la tortue d'Hermann, d'élever en milieu protégé un groupe d'animaux destinés au repeuplement du milieu naturel. La tortue d'Hermann seule tortue terrestre de France, fait partie des animaux menacés de disparition. C'est à ce titre qu'elle est protégée. L'espace du village est divisé en secteurs réservés aux tortues Hermann, aux autres tortues de Corse et aux tortues du monde. Un enclos de reproduction y est installé ainsi qu'une écloserie et une nurserie.
Piana
célèbre pour ses magnifiques calanques, la commune est localisé au centre-ouest de la Corse, sur sa façade maritime. Son territoire tout en relief est tourmenté, son littoral déchiqueté, inhospitalier ; mais l'ensemble est d'une beauté remarquable.
Les Calanche
Les calanques se présentent sous la forme d'un petit chaînon montagneux en forme de "V" pointé vers la droite aux Roches Bleues, qui démarre au nord au-dessus de l'anse de Dardo situé sur la rive sud du golfe de Porto et se termine au sud au pont de Cavallaghiu. Le culmen s'établit à 698 m. Au milieu se trouve un rocher, dominé par Capu Ghineparu (515 m). Les calanche sont traversées par la route D81 qui, dans cette partie, est étroite, sinueuse, aux abords vertigineux et sont parcourues par le ruisseau de Dardo (Piazza Moninca en amont) qui nait sous le Capu di u Vitullu (1 311 m). Dominant l'anse de Dardo,les calanques de Piana (en langue corse calanche di Piana), situées à une dizaine de kilomètres au sud de Porto, sont considérées comme l'une des merveilles de la Corse. Un lent travail d'érosion a donné à ces rochers granitiques déchiquetés, surplombant de 300 mètres une mer bleue et profonde, des formes étranges et parfois fantastiques : piques, colonnes et figures rongées par le vent et la mer. Elles sont inscrites au Patrimoine mondial depuis 1983.

En Bretagne Nord

armorPort Blanc - Pors gwen en Breton...
Penvénan [pɛnvenɑ̃] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, la région Bretagne, et le pays historique du Trégor. Ses habitants sont les Penvénanais et les Penvénanaises. Port-Blanc et Buguélès sont les noms des stations balnéaires et des ports de plaisance situés sur la commune de Penvénan.
Lieux et monuments de Port-Blanc
- - Chapelle Notre-Dame de Port-Blanc. Elle date du XVIe siècle partiellement classée au titre des Monuments historiques. - Corps de garde du Port-Blanc :
* Sentinelle
* Poudrière
* Batterie (Rocher du Voleur)
Quelques autres "incontournales" de cette partie des Côtes d'Armor :
* Paimpol
* Bréhat
* Lézardrieux et Pontrieux, petites cités de caractère
* Le Château de la Roche Jagu qui veille sur le Trieux.

au fil du GR 34

La distance totale que j'ai parcourue sur ce Sentier est de 85 km scindées en 3 tronçons :
- de Tréguier à Port Blanc, c'est le plus récent je l'ai fait en mai 2014.
- de Port Blac à Perros-Guirec
- de Perros-Guirec à Kérénoc
De nombreuses "portions" de ce chemin ont été faites plusieurs fois avec des distances varibles suivant la motivation, la forme physique ou le temps dont disposaient les différents participants !!!


* 1er tronçon : de Tréguier à Port Blanc
GR 34 * Tréguier, l'Estuaire du Jaudy
Le lieu dit "Les Pont Noirs" sur la rive gauche du Guindy (côté Plouguiel) est le point de départ de notre randonnée.
Tréguier :
«Lieu où souffle l’esprit», selon la formule de Barrès, berceau de l’imprimerie en Bretagne, Tréguier a vu naître ou inspiré nombre d’écrivains ou artistes : Anatole Le Braz, Henri Pollès, Joseph Savina et tant d’autres dont bien entendu le grand philosophe Ernest Renan (1823-1892). La maison natale de ce dernier est d’ailleurs musée national depuis 1946.
en remontant l'estuaire du Jaudy, nous arrivons à l'écart de la Roche-Jaune, englobant le port du même nom, était très peuplé au début du 19ème siècle (extrait du cadastre de 1834). Le port de la Roche-Jaune est le dernier abri aménagé de la rivière de Tréguier. Le mouillage de Palamos au Sud-Ouest du port est signalé par Thomassin dans son pilote côtier de 1875. Ce mouillage sur fond sablo-vaseux était un mouillage d'attente (comme celui de la baie de l'Enfer) pour les bateaux de fort tonnage qui attendaient le flot de la marée pour remonter l'estuaire jusqu'au port de Tréguier. Le port de la Roche-Jaune représentait aussi un abri pour les bateaux sabliers et goémoniers, qui travaillaient sur les gisements à l'embouchure du Jaudy (le banc du Taureau, de la Corne). Dans la 1ère moitié du 20ème siècle, ce port était fréquenté par quelques bateaux de pêche et surtout par les parqueurs d'huîtres et les sabliers de l'armement des frères Le Guen (Paul, Armand et Victor). Dans la seconde moitié du 20ème siècle, les marins pêcheurs, de moins en moins nombreux ont laissé la place aux plaisanciers et aux ostréiculteurs. L'aménagement d'un terre-plein, des deux cales et des quais a été réalisé pour ces nouveaux usagers au cours des années 1960-70. Ces aménagements portuaires ont été complétés par la construction d'une cale à Beg Mélen, un peu en amont du port Le site de Beg Vilin est situé entre la pointe du Tourot et la baie de l'Enfer. Il est séparé de l'Île Loaven par une petit chenal, appelé 'chenal de Nicolasick', où peuvent mouiller des canots. Le marais littoral de Beg ar Vilin se trouve protégé par la pointe du Tourot. Il est cadastré en 1834 A2 1903. Cette zone humide, qui était le lieu traditionnel d'hivernage des bateaux, est devenu progressivement un cimetière à bateaux. Son intérêt archéologique est à souligner pour conserver certaines architectures navales de qualité.
de là jusqu'à Pors Hir, panorama sur les iles : Loaven, l’île D’Er (Enez Terc’h), l’île à Poule (Enez Yar).
On remarque que la micro-falaise limoneuse de Pors Hir subit une forte érosion et un recul de plusieurs mètres, malgré les enrochements. Un petit parking est situé en retrait de la voie communale qui passe devant Pors Hir et la digue.
poursuivre jusqu'à la pointe du château la pointe du Château de Porz-Bugalé marque le début d'un fabuleux paysage rocheux aux teintes rougeoyantes dont le summum pourrait bien être le gouffre de Castel-Meur. De là, par temps clair, on profite d'une belle vue sur l'archipel des Sept-Iles.
* de la pointe du chateau à Port Blanc
le gouffre : Falaises rocheuses, pelouses havre de paix. aérhohalines, landes, cordons de galets, lagunes, bois de pins.Onze hectares protégés de falaises rocheuses… Le phénomène de houle a conduit ici à la formation de grands cordons de galets (tombolos) et enserrent 2 lagunes saumâtres dont les eaux communiquent avec le milieu marin. Un milieu propice à une grande diversité botanique. Le site naturel du Gouffre offre un spectacle fascinant par mer agitée, et invite à la contemplation au premier rayon de soleil. admirez la petite maison de Castel Meur, coincée sur son îlot entre deux gros rochers (l'un des sites les plus connus de France - propriété privée-)...
Le GR longe la côte, en allant vers l'ouest ont découvre successivement :la côte parsemée de rochers et de petits îlots (Île des Pins, Île Yvinec), l'anse de Gouermel, que l'on contourne on arrive au port de plaisance de Buguélès dont la particularité est d'être situé sur une presqu'île qui, à marée haute et à fort coefficient de marée, forme une île appelée île Bilo. L'eau monte ainsi sur la route durant quelques heures, rendant tout accès au port impossible aux véhicules.
en poursuivant notre route ves Port-Blanc, nous découvrons les îles de Buguélès : ce chapelet d'îlots sauvages, qui s'étend de Port-Blanc à Plougrescant (Île aux Pins), vaut à Buguélès la réputation d'être une côte où il est particulièrement difficile de naviguer. Le nombre de roches, de sillons de galets demandent à chaque marin une connaissance solide des lieux. Ces îles se composent de l'île Ozac'h, l'île Balanec, (c'est-à-dire l'île des genêts ; le mot breton "balan" est passé en français sous la forme de l'objet que l'on fabriquait autrefois avec ses branches : le balai), l'île Illiec et son sillon de galets abritant des espèces rares de flore et de faune marines, l'île du Milieu, l'ile Marquer et l'île des Levrettes. Chaque île est plus ou moins densément boisée, avec un relief souvent marqué. Illiec, Marquer et Balanec sont habitées.
Le sentier contourne l'anse de Pellinec, et nous arrivons au port de Port Blanc. Au large de Port-Blanc on trouve l'île Saint-Gildas, l'île du château et l'île aux femmes.

* 2ème tronçon : de Port- Blanc à Perros-Guirec
C'est la partie la moins "interessante du sentier des douaniers, mais de beaux paysages, un panorama superbe sur l'archipel des 7 iles et surtout à l'arrivée le port de Perros-Guirec.
* 3ème tronçon : de Perros-Guirec à Kérénoc
L'inoubliable partie de cette ballade!!! C'est de Perros que part le "sentier des douaniers" le plus célèbre : celui de la côte de granit rose.
Pour cette ultime trajet, mes photos sont plus utiles qu'un long discours....


Dans le Sud-Ouest

armorarmor

Arcachon et le Bassin :

Bordeaux et Blaye

Côte Basque et Pyrénées Atlantiques


Dans les Vosges... l'Hiver !

vosges

La Bresse

dans le Nord

armor

Boulogne

Lille et sa banlieue, Lens