L’Emoi Photographique est un festival de photographie annuel se déroulant à Angoulême depuis 2013.
Il veut donner à voir par l’intermédiaire de l’exposition un panorama large de la pratique photographique.
Le thème de cette année , « Mystères et Enchantements, de l’obscurité à l’émerveillement» est décliné par 27 exposants
qui se partagent 12 lieux du 30 mars au 5 mai 2019.
Commentaires de Lucho :
Cet événement culturel est suffisament important pour moi que je lui consacre une "page spéciale". vous ne trouverez ici que quelques images de la
déambulation d'inauguration du samedi 30 mars 2019, en présence de nombreux exposants, de M.François Bonneau président du Conseil Départemental, et d'une centaine de visiteurs .
Cette marche, menée par Mme Peggy Allaire présidente de l'association "l'Emoi photographique" et commissaire générale du festival, ponctuée par les interventions des exposants
dans divers lieux d'exposition c'est terminée au Musée d'Angoulème où sont accrochées les oeuvres des deux invités d'honneur Laurent Chéhère et Flore Aël-Surun.
un buffet qui a réuni, visiteurs, mécènes, bénévoles, photographes et organisateurs a cloturé cette journée. Une réussite !
De mai à octobre, le Haut-du-Tôt, village le plus haut des Vosges,
accueille pour la quatrième année consécutive une exposition photographique à ciel ouvert.
Pour l’édition 2019 des Sentiers de la photo, est mis en lumière le petit peuple des prairies et des forêts,
parce que la biodiversité, source d’inspiration pour de nombreux artistes, est aujourd’hui brutalisée,
jusqu’aux espèces les plus familières, à l’image de l’abeille et du coquelicot.
Cette balade visuelle se découpe en six "thèmes" :
Le monde simple des bords du chemin existe encore. Comme le champ où se jouent malgré tout bleuets ou coquelicots.
Comme le vol d’un machaon, les cabrioles d’une grenouille et ses plongeons dans la mare, les cétoines dorées
s’enivrant dans un bouquet de lilas. Tout est là, tout semble encore là, et tout disparaît pourtant.
Paul Starosta, incarne la quintessence de la photographie appliquée à la recherche naturaliste.
Portraitiste du monde végétal, animal ou minéral, il s’approche au plus près de ses sujets, à la recherche de l’architecture
d’un coquillage, du regard d’une Mante religieuse ou de la structure quasi extraterrestre d’une graine. Sa technique méticuleuse
et irréprochable révèle l’extraordinaire beauté du monde «du petit», trop souvent ignorée par la plupart d’entre nous.
En 2010, la prestigieuse collection Photo Poche lui consacre un volume où une sélection de ses travaux est publiée aux cotés des
plus grands noms de la photographies.
Depuis déjà plus d’une décennie, Stéphane Hette photographie les papillons, mais pas que : vous le découvrirez en parcourant
cette exposition. Stéphane a développé sa propre technique de prise de vue, avec pour préoccupation première, la préservation
de ses modèles vivants.
Épris de plantes et d’insectes, nourri d’une insatiable curiosité et d’une passion intacte pour la nature qui l’entoure,
il tente d’en révéler toute la poésie et la fragile beauté.Contrairement à d’autres, il explore une nature proche et ne
voyage que rarement pour réaliser ses images ; mares, forêts, prairies ou étangs de la Champagne humide où il vit,
suffisent généralement à le combler.
Tous ces efforts font aujourd’hui de Ghislain SIMARD l’un des spécialistes de la photographie ultra-rapide.
Ses clichés ont été primés de nombreuses fois. L’adaptation du matériel aux exigences de la très haute vitesse a conduit
Ghislain à nouer des liens forts avec les constructeurs de matériel. Ghislain partage ses compétences techniques dans
de fréquents articles de la presse spécialisée.
Depuis 2018, le projet Flying Flowers prend forme à mesure que la photothèque se remplit, complété par la réalisation
d’un documentaire sur le vol des papillons. Le tournage se poursuit en 2019.
S’il fallait résumer en quelques mots le message de cette expo, ce serait : il y a urgence à changer notre regard sur les abeilles
et accepter l’évidence que moins on s’occupe des abeilles et mieux elles se portent !
Toutes les photos réalisées par l’auteur ont été faites en pleine nature, dans le plus grand respect des abeilles, sans dérangement
(enfumage, ouverture de ruches), ni bouleversement de ses organisations et de son intimité.
En 2007, le travail d’Eric prend une dimension mondiale et s’articule autour de la relation de l’homme aux abeilles.
Sa démarche est de mettre en lumière les relations entre peuples, cultures et environnement.
Si vous souhaitez découvrir, en avant première, le guide officiel du voyage, cliquez sur la vignette ci contre à gauche
J'ai télécharger ce document pour vous !!!...
pour accèder au :
... Tout est gai, lumineux
... Il y a même des fleurs étranges dans les bordures !
quittons ce lieu reposant par la nouvelle entrée dite des cerfs qui s'ouvre sur un parvis menant à la gare !!!
... Toujours cette même ambiance de renouveau sur
... réouverte au publique avec une nouvelle cascade !
Ca ne vous rappelle rien ces plaques ?
Oui, vous avez raison, elles s'inspirent de celles du mémorial de l'esclavage,
elles ont été posées par des Anonymes en mémoire des imigrants morts noyés en Méditerranée...Remember.br />
En marge des Floralies, l'association "Nantes est un jardin" et ses partenaires, ont fleuri le centre ville des le 2 mai...
Mardi 24 mai 2011: Un mur tombé du ciel...
Dans la nuit, un gigantesque mur a percuté le sol nantais, s’écrasant tel un météorite en plein cœur de Nantes, sur la place de la Bourse...
Après avoir été déplacé place Ricordeau, il a subit de nombreuses dégradations... Aujourd'hui restauré il fait partie du patrimoine nantais !
La découverte de Nantes au travers de clichés insolites du photographe nantais Adrien Pasquier.
Une exposition grand format de sa célèbre et mystérieuse série "La Goutte d'Eau".
Un cadre grandiose pour une expo épatante !!! Jugez en plutôt !
Marion Gommard-Jouan a vécu plusieurs années au Cambodge avant de faire le tour du monde en voilier.
L’exposition qu’elle nous propose est l’aboutissement de ces années de résidence et d’itinérance à
la rencontre d’artistes du spectacle traditionnel : musique, danse, théâtre...
A travers une exposition multimédia mêlant portraits d’artistes et photos de scènes de travail,
mais aussi portraits vidéo, témoignages écrits et ambiances sonores, elle vous invite à découvrir
la richesse de ces arts traditionnels, et à vous interroger sur leur évolution dans un monde de plus en plus uniformisé.
En choisissant l’écorce du mûrier comme matière première de leur art, selon une très ancienne technique chinoise
de création de papier, Miki Nakamura et Jean-Michel Letellier déclinent la même vision d’un monde fait de légèreté diaphane.
Miki Nakamura crée des formes délicates inspirées de la nature, en étirant et moulant le réseau des fibres de l’arbre.
Jean-Michel Letellier fait du papier lui-même un monde de structures, d’entrelacs, d’ombres et de lumières qui renvoie parfois
aux formes de l’eau, de l’écume, du nuage. Leurs œuvres se croisent, dialoguent et jouent avec la lumière au sein du Passage Sainte-Croix.
Une invitation à contempler la beauté fragile de la nature, à la croisée de l’Orient et de l’Occident
le vendredi 7 juin 2019 de 19h30 à 23h00 au Salon Mauduit (au lieu des jardins de l’Hôtel de Ville),
Le HIP-SPOT vous attend pour une soirée 100% rap et hip-hop ! Du show, du flow et de la danse.
De quoi vous en mettre plein les yeux et plein les oreilles.
Si le spot du vendredi n'a pas suffi, rendez-vous au Cours Saint André
(au lieu du Miroir d’eau) ! pour découvrir et participer au SPOT en scène et en parallèle au SPOT des associations.
L'occasion d'assister aux différents projets imaginés par les jeunes créatifs dans les domaines de la danse, des performances,
de la mode.
Assister c'est bien, être acteur c'est mieux ! Le spot des associations vous permet de participer à des jeux, expositions, ateliers,
Consultez le programe détaillé ici.
Lucho vous offre une courte vidéo enregistrée le samedi 8.
Le festival Printemps Coréen a pour objectif de promouvoir la culture coréenne en France, contribuer à
l’amitié entre la France et la Corée et accroître la compréhension réciproque de ces cultures.
Pour sa 7ème édition, le festival choisit pour thème « Du mouvement à la danse », un focus sur le geste,
l’élan, le rythme et l’impulsion : des codes traditionnels coréens aux codes actuels.
Lucho vous donne des images de l'exposition partie intégrante du festival.
le parcours :
Cours Saint-André, Quai Ceineray, Place de Port Communeau, Cours des 50 otages,
Rue de l’Hotel de Ville, Rue du Général Leclerc de Hautecloque, Place Saint Pierre, Place Foch, Cours Saint-André
présentation et bref historique :
Le Carnaval de Nantes est l’un des plus importants de France si l’on prend en compte le nombre de spectateurs qui y assistent.
Même s’il a considérablement évolué au fil des ans, le Carnaval de Nantes est très ancien et remonterait au Moyen-Âge,
toutefois, la version "moderne" du carnaval, proche de celle que l’on connaît de nos jours, date du XIXème Siècle.
Le Carnaval de Nantes est organisé par l’association NEMO (Nantes événements musiques organisations) depuis 2011.
Il se déroule sur trois jours, avec trois défilés, un défilé carnavalesque de jour, un défilé carnavalesque destiné
aux enfants et un défilé carnavalesque de nuit pour conclure l’édition.
le thème 2019 :
Cette année,il est placé sous le signe du « SHOW! » et de la musique!
Manou, du groupe Elmer Food Beat (groupe de rock Nantais mondialement célèbre) sera le roi du Carnaval !
La couverture photos et vidéo de l'événement par Lucho :
Retour(s) de guerre, propose de montrer comment les habitants du département reviennent à un quotidien et surmontent cette période singulière
et extraordinaire qu'a été la guerre, ses traumatismes et les changements qu'elle a engendrés.
Dans le cadre de la série d’événements Nantes sur les routes de la soie (fev 2019 > fev 2020), le Passage Sainte-Croix accueille une exposition exceptionnelle
de Qiu Zhijie artiste, enseignant, militant et penseur qui vit entre Pékin et Hangzhou.
Qiu Zhijie, explorateur de l’imaginaire invite au voyage à travers ses cartes géographiques, représentations uniques du monde qui l’entoure.
En convoquant les mythes, les contes de fées, les légendes du monde entier, en explorant les langages et les littératures, en cartographiant
les échanges scientifiques et philosophiques, l’artiste met ses pas dans ceux des missionnaires jésuites envoyés d’Europe en Chine au XVIème siècle,
initiateurs des échanges entre la Chine et l’Occident.
Dix-neuf de ses œuvres sont exposées, dont deux réalisées spécialement pour cette exposition, en hommage à Jules Verne.
Des cartes mais aussi des créatures mythologiques inspirées d’une fusion de traditions culturelles révèlent l’univers scientifiquement onirique de l’artiste.
Parcourir la « mer des humanoïdes amphibiens », éviter le Léviathan, rejoindre la « péninsule du monde entier », contourner le « lac des animaux parlants »
et franchir « la chaîne des monts des hybrides » pour enfin atteindre « l’île de la divine création »… Voilà quelques pistes que je vous invite à suivre sur mes photos !!!