Port-Blanc (Pors Gwen en breton) était jadis un havre pour marins. Les moines de Grande-Bretagne y trouvèrent aussi refuge pour ensuite
s'installer à l'intérieur des terres.
Sur le littoral de Port-Blanc, on trouve de nombreux îlots et ses paysages sauvages, comme l'île des Femmes, l'île du Château-Neuf et
l'île Saint-Gildas. Un sentier des Douaniers rejoint Port-Blanc à Buguélès, et permet de découvrir la côte des Ajoncs et de suivre de
petits circuits balisés qui mènent aux différents calvaires et chapelles.
Parmi les personnages célèbres à l'histoire entremêlée au Port-Blanc, on trouve notamment Anatole Le Braz dont l'ouvrage célèbre
La légende de la mort en Basse-Bretagne évoque à plusieurs reprises le Port-Blanc et ses alentours. Il reçut vraisemblablement dans sa
demeure au Port-Blanc Ernest Renan, auteur en 1882 de la célèbre conférence à la Sorbonne « Qu'est-ce qu'une Nation ? ».
Theodore Botrel habita également le Port-Blanc.
Anecdote:
Il fait 3° de température extérieure, nous sommes le 01/01 il est 16h30 regardez ce qui se passe :
...et puis il y a le paysage !!!
un peu d'histoire .
La ville tient son nom du moine Brioc, dont l'hagiographie repose sur la Vita Briocii, récit rédigé vers 1050 vraisemblablement
à l'abbaye Saint-Serge d'Angers, où les reliques du saint ont été transférées sous le règne du roi breton Erispoë.
Le texte de la Vita Briocii est peu fiable, notamment en ce qui concerne les dates. Il est possible que Brioc, originaire du
Ceredigion (Pays de Galles actuel) se soit installé sur les hauteurs aux alentours de 480 et qu'il y ait fondé un monastère,
près d'où se trouve aujourd'hui la Fontaine Saint-Brieuc.
Le porche de cette fontaine fut édifié en 1420 par Marguerite de Clisson, comtesse de Penthièvre.
En 1790, sous la Révolution française, Saint-Brieuc devient le chef-lieu du département des Côtes-du-Nord (renommé Côtes-d'Armor le 8 mars 1990).
Parmi les personnages politiques notables de l'époque, on peut noter Palasne de Champeaux et Poulain de Corbion qui furent élus
députés du Tiers état en 1789.
Durant cette période, la commune porta provisoirement le nom de Port-Brieuc.
En 1793, pendant la Terreur, la guerre civile entre les Chouans et les Bleus fit rage. Dans la nuit du 5 brumaire an VIII (25 octobre 1799),
une troupe de chouans délivra de la prison de la ville des prisonniers royalistes condamnés à mort. Le procureur Poulain de Corbion,
ancien maire de la ville (1779-1789), fut tué au cours de cette nuit du combat de Saint-Brieuc.
quelques édifices remarquables.(photos ci-dessous)
*La cathédrale Saint-Étienne de Saint-Brieuc, place De Gaulle (XIe siècle - XVIIIe siècle)
Cette cathédrale est l'une des neuf cathédrales historiques de Bretagne. La tour nord est construite au début du XIIIe siècle.
Après un incendie, le chœur et la nef sont reconstruits entre 1354 et 1357. Les voûtes du bas-côté datent de 1735, et les voûtes hautes de 1879.
La cathédrale est équipée d'un orgue Cavaillé-Coll, du nom d'un des facteurs d'orgue les plus réputés du XIXe siècle.
On trouve un orgue similaire en l'église Saint-Sulpice, à Paris.
*La mairie
*La caisse d'épargne, rue de Rohan 1909
Depuis le samedi 3 janvier 2021 l’art s’invite sur le chantier d’aménagement de l’espace Commerce-Feydeau, à Nantes.
Sur la facade sud du palais de la Bourse, occupé par la Fnac. Trois graffeurs,Persu, Wide, Pedro sont à la manœuvre pour réaliser
un graf sous les trois œuvres agrandies du musée d’arts.
Persu, Wide, Pedro, ce trio fait partie, avec trois autres street-artists, du collectif 100 pression qui s’efforce,
depuis quinze ans, de partager la culture graphique et urbaine, à travers des commandes privées ou publiques,
en organisant des expositions, en animant des ateliers. br>
Un nouveau graff monumental habille l'un des murs de Trempolino, STREET ART Offert à la vue des nombreux passants.
C'est la premiere des oeuvres du projet baptisé le Mur de Nantes, mis en oeuvre par le collectif Plus de Couleurs
à la demande de la ville de Nantes.
L’idée est que, tous les trois mois, des toiles urbaines rhabillent l’imposante façade en béton (à l’origine un blockhaus) de Trempolino.
Objectif : « créer la surprise et animer la ville tout en mettant en lumière la diversité du muralisme actuel ».
Après un teasing signé Adrien Ledoux, le premier artiste à se lancer est la plasticienne bordelaise Jessica Hartley, alias Rouge.
Sa peinture intitulée « Rouge #1 », représente du… linge sale « qu’il faut constamment, avec application et
précaution, laver en public ».
La prochaine œuvre sera présentée en avril, la suivante en juillet.
Il y a neuf ans, le 5 février 2012, une belle couche de neige avait blanchi notre ville bretonne, marquant une péride de froid qui
avait vu la Loire charrier des glaçons !!!
Vous pouvez retrouver cet épisode hivernal en cliquant :L'année 2012 dans le rétro
Ci dessous comparez les photos des deux épisodes neigeux. Cette année, semble que la vague de froid ne soit pas d'actualité dès samedi,
les températures vont remonter.
Il n'empêche ce fut bref mais violent et il n'y avait pas besoin d'être mômes , pour retrouver le plaisir des "boules de neige",
comme en témoigne ma vidéo.
Depuis le 17 mars 2020, les artistes nantais sont passés de « moteurs culturels » et fierté de la ville de Nantes à
« population non-essentielle ». Aujourd’hui, ces street artistes, graphistes, photographes, plasticiens, illustrateurs
veulent montrer qu’ils sont toujours bien présents !
Ils ont donc décidé de se regrouper et créer l’exposition à ciel ouvert Pour l’amour de l’art. Le concept est simple, en mode sauvage,
une cinquantaine d’artistes vont venir coller sur des murs, palissades, affichages libres leurs œuvres. Pas de thème spécifique,
juste la volonté de s’exprimer librement. Mais aussi, une belle opportunité pour les Nantais de (re)découvrir des œuvres au détour
d’une rue. Les musées sont fermés, ce n’est pas grave, l’art sort dans les rues !
Si vous souhaitez découvrir ces œuvres éphémères rendez-vous à partir de lundi 15 février 2021 dans la cité des Ducs !
Pour faciliter votre découverte un compte Instagram et un événement Facebook ont été créés. Dessus, chaque artiste publiera une photo de
son œuvre avec le nom de la rue où elle se trouve. Vous n’aurez plus qu’à vous y rendre.
Commentaire de Lucho :
En soi, l'idée est géniale...Mais la réalisation relève du plus pur amateurisme, c'est plus un jeu de piste pour trouver ces affichettes décevantes...
Les street artistes, graphistes, photographes, plasticiens, illustrateurs Nantais nous ont habitué à beaucoup mieux et surtout à cotoyer l'Art...
je suis très déçu...
ci dessous quelques photos que j'ai faites.
Une quarantaine d’intermittents, artistes et techniciens, occupent depuis le mercredi 10 mars le
théâtre Graslin à Nantes. Une action coup de poing pour demander la réouverture des lieux culturels.
Martine Ritz explicite l'organisation mise en place : "Le hall est un lieu de débat, où se déroulent nos AG, c’est aussi le lieu où on prend nos repas.
À 22 h, on garantit qu’on peut dormir dans la grande salle. La vie collective s’organise. On est tellement conscient que ce conflit peut durer qu’on a
prévu le calendrier des agoras et des actions jusqu’à fin mars. On est dans une énergie montante".
Elle pousuit "les jours à 13 h, c’est l’agora, un débat public se tient sur les marches : Nous avons décidé de choisir des thèmes prédéfinis sans empêcher
les prises de parole. On va monter en puissance." Des performances artistiques sont organisées tous les après-midi.
Jeudi 18 mars, deux hommes et deux femmes se sont mis à nu sur la place Graslin en soutien à la comédienne Corine Masiero, qui s’est dénudée
sur la scène des César vendredi soir pour dénoncer l’inaction du gouvernement vis-à-vis du monde du spectacle :
Si une quelconque action en justice devait être intentée à l’encontre de notre camarade artiste Corinne Masiero, nous, occupantes et occupants
de l’opéra Graslin, nous ne manquerons pas d’intensifier notre soutien à son encontre.
le montage photo que j'ai réalisé a partir d'une photo réalisée place Graslin et d'une autre prise sur la passerelle Schoëlcher
(collage effectué dans la nuit de jeudi à vendredi) résume l'état d'esprit de cette occupation.
Bis repetita : le samedi 20 mars, dans les rues de Nantes une nouvelle "performance artistique", inspirée par l'opération "Mask Task Force" de la
chorégraphe belge Barbara Désirant. de ce collectif anonyme, (qui se dit apolitique et non complotiste !!!) et entend dénoncer l'atteinte aux
libertés individuelles.
"Je ne nie pas qu'il y ait une crise sanitaire", précise le porte parole des Masques Blancs,
" mais il y a différents moyens de la gèrer tout simplement".
La démarche est saccadée, presque martiale, les robots blancs impressionnants, une musique lugubre s'échappe de hauts parleurs.
Et une voix résonne : "Le virus est très contagieux, isolez vous de la population"
"Evitez tout contact humain, les câlins sont dangereux, le toucher est dangereux, les autres sont dangereux".
Le caractère volontairement inquiétant de cette "performance artistique" est voulu afin que "les gens finissent par ouvrir les yeux car lorsqu'ils
ont peur ils sont plus facilement manipulables !!!"
Personnellement je suis ravi que les intermittents prennent leur distance, par rapport à ces "Masques blancs", plus opportunistes que constructifs !!!
Un projet collaboratif de fresque né durant le confinement sur une idée de Docteur Paper.
Pour essayer de penser à autre chose, d’occuper les enfants mais aussi les adultes de façon ludique et sur un projet en lien avec le reste du monde,
Docteur Paper a voulu créer une ville imaginaire géante.
Il a proposé sur les réseaux sociaux d’imaginer des bâtiments originaux drôles, décalés ou au contraire ultra précis, de créer, d’inventer
des noms d’enseignes, de boutiques et de composer ainsi une ville géante avec les productions de chacun.
Tout le monde pouvait y participer, petits, grands, amateurs, artistes ...
le résultat : Notre Ville Imaginaire existe, elle est composées de maisons aux formes improbables qui constituent des quartiers délirants.
Cette ville appartient à tout le monde, aussi, toujours avec cette idée de partage, Docteur Paper et les participants à Notre Ville Imaginaire
présentent cette aventure au public sous forme d'une exposition de 6 panneaux qui sont des détails, des parties choisies, extraites de la fresque géante
composée de plus de 1500 bâtiments différents sortis tout droit de l’imagination de plus de 900 cerveaux créatifs eux aussi différents.
Lucho vous fait partager sa découverte de cet univers déjanté!!!
Le jardin Sainte-Croix, écrin de verdure au milieu du quartier du Bouffay, se transforme en une jungle luxuriante grâce à l’imagination de
l’artiste nantais Pedro. Plus de 700 plantes sont installées dans ce jardin atypique du centre-ville, en partenariat avec le Service
des Espace Verts de la Ville de Nantes et l’association Nantes est un jardin.
Un masque monumental, inspiré des arts premiers,
est placé au cœur du jardin.
Symbole de métamorphose, de fête et de célébration, le masque nous interroge sur notre identité
« derrière le masque », lui qui tient une place si particulière dans nos vies actuelles.
Le titre de l’exposition Bal & Mask est aussi une allusion directe et pleine d’humour à notre quotidien masqué.
L’artiste Pedro collabore avec l’atelier Tour de la terre, et notamment l’artiste céramiste Yulie, pour réaliser des totems inspirés
par les formes végétales du printemps enfin retrouvé.
Lucho a profité de ce premier jour d'ouverture au publique pour s'y promener... C'etait super !
Le parc du Grand-Blottereau, situé dans le quartier Doulon - Bottière, à l'est de Nantes.
s'étend sur 19 ha, dans le cadre d'un domaine municipal de 37,5 ha, ce qui en fait le plus grand parc de la ville.
Onze ans après notre arrivée à Nantes, Marie-Paule et moi nous le découvrons enfin. Ci-dessous les images de ce voyage extraordinaire en ce début de printemps.
Le parc vu par Lucho :
Le site est aménagé depuis plusieurs années selon un motif exotique, en lien avec la présence de serres tropicales.
Il devrait accueillir à terme différents milieux des cinq continents. On peut y voir actuellement :
Hauteur 4 m, matériau Granit, Auteur Jean-Claude Lambert: Inaugurée en septembre 2001.
La même sculpture a été réalisée en Corée quelques mois avant celle du Grand Blottereau. La sculpture représente un gong qui symbolise le monde.
Au centre, les aspérités expriment le travail, les difficultés rencontrées au cours de la journée. Tandis que la partie extérieure du cercle,
lisse, évoque le soir, la nuit, les gens qui ont fabriqué, ont produit (ont transformé le rugueux en lisse).
Tournée vers le nord-est, face au Levant, la stèle percée de trous est conçue pour faire jaillir les rayons du soleil au travers de sa rosace centrale.
Un phénomène qui ne se produira que deux fois l'an, autour du 1er mai et du 12 août, à l'aube, entre 7h et 7h20 du matin. Il faudra se placer à une
distance de 50 m à partir de l'allée principale...
Pour la réalisation de la "pierre méditative", Jean Claude Lambert a travaillé avec un Japonais et un Coréen et a également
fait appel au savoir de la Société astronomique de Nantes.
Hauteur 2 m, Matériau Granit Granit, Auteur Park, Chang-kab
L'œuvre fait jaillir l'amour de la fontaine et le répand comme le son d'une cloche.
La coupe du monde de football Japon - Corée en 2002 avait été le prétexte pour le Seve
d'une "Année du matin calme et du soleil levant". De très nombreux contacts avaient été noués à cette occasion et avaient
permis la venue de Chang-Kab Park au Parc du Grand Blottereau qui avait sculpté Window on the mind.