Une longue promenade sur "Le sentier du littoral" ( gwenodennoù an arvor) parfois dit "sentier des douaniers"(hentig ar valtouterien)
rien de mieux pour commencer l'année!!!
En effet, en cette periode, le littoral de ce petit coin de Bretagne qui va
de Ploumanach à Tréguier baigne, en fin de journée, dans une lumière particulière, c'est cela que je souhaite partager avec vous au travers
de ces quelques photos prises au hasard de mes errances au creux des chemins où, ma foi, je ne serai pas surpris le jour où je croiserai un Korrigan !!!
L’Imagerie
Lieu permanent d’exposition consacré à la Photographie, la galerie L’Imagerie de Lannion a vu le jour en 1984 lorsque la
municipalité de Lannion a mis à la disposition de l’association des locaux permanents(deux salles d’exposition
et des locaux techniques pour le laboratoire photo et les réserves) ce qui a permis le développement de la structure et
l’organisation d’expositions tout au long de l’année intégrant photographie plasticienne et recherches diverses,
avec une ouverture vers les arts plastiques.<
Pour les 20 ans de la galerie en 2004, d’importants travaux de rénovation (éclairage, cimaises…) et d’agrandissements ont été
réalisés. Une troisième salle de 200 m² ayant été allouée à la galerie par la Ville de Lannion,
avec 500 m² d’espace d’expositions, l’Imagerie est devenu l’un des lieux les plus importants de France pour la photographie.
l'exposition :
L’exposition Empreinte du reste, volume du manque rassemble une cinquantaine d’œuvres de Paul Pouvreau, datant de la fin des années 1990
à aujourd’hui, proposant à la fois un cheminement parmi les images et dans les images elles-mêmes.
Grâce à ce large éventail de sa production, on perçoit de quelle manière l’artiste rejoue avec ses photographies certains genres majeurs
de l’histoire de la peinture (la nature morte, le paysage) ou principes esthétiques de mouvements artistiques du XXe siècle
(le pop art, l’art conceptuel).
Il en donne des versions pour ainsi dire bricolées, sans être dans l’imitation ni la parodie. Que ce soit dans ses dessins – où il
retravaille des pages de journaux et des dépliants publicitaires par remplissage – ou dans sa nouvelle série photographique où il
transforme par des jeux d’échelle et de lumière des sacs plastiques en d’éloquents masques de tragédie grecque, c’est toujours le même
plaisir de faire qui l’anime. C’est ce plaisir de la fabrication qui lui permet de donner corps à des pensées et des formes, aussi fragiles
soient-elles en apparence.
Les visages d'habitants de Nantes illuminent le château des Ducs jusqu'au 5 janvier. Leurs photos sont projetées sur l'un des murs
d'enceinte tous les soirs dès 18h.
C'est la façon dont la mairie a choisi de souhaiter une bonne année 2022 puisque la cérémonie des vœux a du être annulée.
L'œuvre animée dure environ 5 minutes et est diffusée en boucle. Elle a été réalisée d'après les portraits-photos
d'habitants collectés à l'automne dernier, Place Royale et au centre commercial Beaulieu.
La France prendra la présidence du Conseil de l’Union européenne du 1er janvier au 30 juin 2022. Pour marquer l’événement,
la collectivité illuminera, de manière symbolique, la fontaine de la place Royale, des couleurs de l’Europe, bleu et jaune,
pendant une semaine, du lundi 3 au dimanche 9 janvier.
Il semblerait que cette illumination se prolonge, à preuve la photo ci-dessus que j'ai prise hier soir (le 27 janvier 2022) !
Depuis le début de l'offensive militaire russe en Ukraine, le jeudi 24 février, les marques de soutien au peuple ukrainien se multiplient.
Pour montrer le sien, la mairie de Nantes a décidé d'illuminer la fontaine de la place Royale en bleu et jaune, aux couleurs
du drapeau ukrainien.
L’Afrique subit de plein fouet les dérèglements actuels, climat et biodiversité. C’est sur ce constat que le MUVACAN
(Musée vivant des arts et civilisations d’Afrique à Nantes) a conçu une exposition au cours de laquelle sont présentés
les concepts traditionnels africains à la lumière de la pensée animiste, qui s’oppose à la vision occidentale de l’homme séparé de la nature.
Le parcours de l’exposition invite à suivre les deux grands fleuves, Niger et Congo, et à aller à la rencontre d’une douzaine de peuples
au travers d’objets traditionnels signifiants?:?masques, statues, mobilier…. En simultané, sont abordées les problématiques du monde contemporain.
Petite précision :
Les photos ci-dessous ne représentent que la partie "visuelle" de l'expo. Les objets exposés que j'ai photographiés, illustrent une démarche
documentaire riche et hyper intéressante sur la situation passée, présente et à venir des pays africains concernés par la scénographie
que le MUVACAN a choisi.
Autodictade, Yann Audureau a toujours exploré un univers artistique abstrait hors de toute représentation figurative,
dans une forme de radicalité.
Artiste minimaliste dans sa technique et sa palettes de couleurs, ses œuvres sur papier témoignent
d’un geste précis et concentré. Il a pu développer une technique très personnelle et ses traces, ses empreintes sur papier, laissent
toujours une part à l’aléatoire, à l’imprévisible, malgré la rigueur qui s’en dégage. Yann joue de notre perception grâce à la lumière,
que l’on s’approche de l’oeuvre ou que l’on regarde d’un peu plus loin. Il crée ainsi un rythme, une répétition dans une construction
parfaite. Ses œuvres par leur recherche esthétique nous invitent à la contemplation, il suffit de se laisser submerger…
l'appréciation de Lucho :
l'oeuvre d'art nécessite une approche personnelle, même reconnue elle ne doit pas faire l'unanimité, c'est à chacun de l'apprécier avec sa perception.
Il est inconvenant et de mauvais goût d'affirmer :"c'est bien" ou "ce n'est pas bien" mais il est important de dire "j'aime" ou "je n'aime pas".
En ce qui me concerne, je n'aime pas le travail de Yann AUDUREAU que vous apprécierez peut-être !
Cette exposition mêle photographies contemporaines, peintures et dessins du XIXe siècle.
Parmi les photographies, on retrouve notamment des grands noms de l’art contemporain : Annette Messager, Andy Warhol, Cindy Sherman.
Parmi les pièces maîtresses du XIXe siècle : des dessins de Paul Baudry ou encore le portrait de Napoléon en costume de sacre de Clémence Dimier.
L’exposition "À la mode, L’art de paraître au 18e siècle" confronte des pièces textiles et picturales iconiques,
révélant ainsi les influences réciproques entre le monde artistique et la naissance de la mode au 18e siècle.
Exposant à la fois des peintures et des vêtements d’époque, l’exposition "À la mode. L’art de paraître au 18e siècle" présente,
pour la première fois, la façon dont les peintres et les créateurs de mode du siècle des Lumières se sont mutuellement influencés.
L’exposition rassemble, dans une scénographie moderne et stylée, près de 200 œuvres et objets merveilleux venant de grands musées :
le Palais Galliera, musée de la Mode de Paris, confie au Musée d’arts des vêtements d’époque incroyables et rares, le château de Versailles
prête des chefs-d’œuvre habituellement exposés au Petit Trianon ou dans les salles du Château, le château d’Écouen apporte
des précieux gants, dentelles, boites et flacons.
Le parcours de l’exposition se déploie en quatre univers distincts :
- Phénomènes de mode :
Le premier chapitre de l’exposition s’attache à démontrer l’accélération des phénomènes de mode,
autant en peinture que dans le vêtement.
- Les peintres et la fabrique de la mode :
Le deuxième chapitre met en scène les peintres comme acteurs de la
« fabrique de la mode », ils se révèlent les vrais ancêtres des couturiers et créateurs de mode.
- Fantaisies d’artistes :
Le troisième chapitre explore les liens entre des mondes picturaux imaginaires et des vêtements devenus
iconiques grâce à eux.
- Pour une histoire du négligé-déshabillé :
La dernière partie porte un regard inédit sur la vogue grandissante du négligé dans le
vestiaire masculin et féminin.
Conçue par Jean-Julien Simonot, la scénographie théâtralise de façon spectaculaire l’exposition et permet au public d’expérimenter
le goût de l’époque,...
Les photos de Lucho respectent ces quatre entitées distinctes.
Depuis 1999, au fil de ses voyages répétés au Proche-Orient, en Israël ou en Afrique de l’Est, Anne-Marie Filaire a réalisé des
images habitées par l’inquiétude plus que par les hommes, souvent absent du cadre. […] Préoccupée depuis plus de vingt ans
par la question du paysage, inaugurée avec des séries réalisées sur sa terre auvergnate pour le compte de l’Observatoire
photographique du paysage, l’artiste déploie un geste constant: prélever les traces du temps sur la matérialité d’un territoire.
(Jean-Marie Durand, Les Inrockuptibles).
Les images d’Anne-Marie Filaire, racontent un territoire qu’on a sorti de lui-même, un territoire dépossédé de
toute définition géographique.
Les terres enfouies sont extraites par des tunneliers qui cassent les molécules
de la terre. Cette terre mise à nue, sans fard, sans habit, sans eau n’avait pas à voir le jour.
Sous le soleil elle devient une boue grise et compacte entre carton et goudron. Cette masse, arrachée au noyau du sol est ensuite déversée
au-delà des banlieues, sur les pourtours de l’Ile de France : Annet, Chelles,Villeneuve-sous-Dammartin deviennent des extensions de Paris
EXPO FLASH
Hommage à Franck Sordot, peintre de paysages poétiques ou abstraits, disparu en 2020. Issu d’une famille d’artistes, il a
traduit ses coups de cœur par des éclairages inattendus, des structures simples et un équilibre flatteur.
Modifiant peu à peu sa technique de dessin et de peinture rapides (aquarelle, huile sur toile ou carton), il a affiné son style,
séduisant les vrais amateurs de peinture.
Très vite, la reconnaissance du public lui a été acquise partout où il exposait, notamment en Bretagne et à Paris.
D’autres œuvres de Franck Sordot sont à découvrir à la Galerie des Glaces (8 quai de Versailles, Nantes) du 1er février au 19 mars.
"Je connais un endroit magique pour sentir sa force, à l’orée de la Forêt-Noire en Allemagne.
Si la forêt a toujours été une source d’inspiration, ce temps passé dans la Forêt-Noire a été une évidence.
Il me fallait créer autour de ce thème. Lors d’une résidence en ce lieu, j’ai entamé cette série de peintures."FORET".
La forêt est un sujet est aussi vaste que la quantité d’émotions que l’on peut y ressentir. Pour moi, la forêt est un endroit où l’on se balade,
où l’on se ressource, où rien, jamais, n’est identique. Imaginez la une journée d’été ou une nuit d’hiver.
C’est aussi un lieu où l’immobilité peut être inconfortable. En repos dans la forêt, nous devenons vulnérables.
Il existe une vraie complexité dans laquelle les émotions ressenties sont contrastantes. Nos apparats matériels et physiques deviennent inutiles,
la forêt nous met face à nos contradictions."Lucile Jousmet
Ci -dessous, le plan de l'expo et l'intitulé des toiles dont le n° correspond à celui qui est inscrit sur chacune des photos de Lucho!!!
Bertrand Dezoteux réalise depuis une dizaine d’années des films d’animation 3D. Son œuvre inclassable nous plonge dans des mondes merveilleux,
fantastiques et surréalistes à travers des histoires qui empruntent pléthore de directions narratives et visuelles.
Le tourisme est-il un art ? C’est par cette question que Bertrand Dezoteux a répondu à l’invitation faite par le Voyage à
Nantes pour la HAB galerie.
L’exposition Mémoires d’un touriste donne l’occasion à l’artiste de déployer dans ce vaste espace les récits et univers composites
qu’il orchestre en général au sein de films d’animation. Points d’orgue de l’exposition, la projection des épisodes d’Harmonie et
de sa suite encore inédite Harmonie | Résurrection nous permettent de plonger dans l’univers de Bertrand Dezoteux fait de
rhizomes compliqués, dans une ambiance drôle et surréelle, à l’image de l’ensemble de l’exposition où l’humour et la démesure
se rencontrent à chaque détour de cimaise.
Juste quelques photos pour vous faire patienter jusqu'au momeznt où j'aurai pu approfondir le sujet ... Lors de cette première visite l'un de
mes deux petits fils (4 ans) m'a déclaré de manière péremptoire , " ce truc c'est nul" signifiant par là qu'il était temps de partir!!!
Au sein du Parc des expositions de la Beaujoire, la ville de Nantes accueille en fin d’année l’un des rassemblements artistiques
les plus importants de France : art3f de Nantes.
Sur un week-end, des artistes contemporains de tous horizons viennent exposer leurs œuvres et rencontrer le public pour un échange
convivial et chaleureux entre passionnés, collectionneurs et simples curieux.
Art3f est une occasion unique pour découvrir des étoiles montantes de l’art contemporain tout autant que des œuvres prestigieuses d’artistes
connus et reconnus. Vous aurez aussi l’opportunité de rencontrer les auteurs et de plonger dans leur univers, d’en apprendre plus sur leurs
motivations, leurs inspirations et leurs objectifs.
Nous fêtons le 275e anniversaire de la naissance du génie universel Francisco de Goya. Goya réalisa des gravures intitulées “Los disparates”
dans lesquelles la nuit, la violence et le grotesque constituent une énigme. Cette série resta inachevée et “Los disparates de Fuendetodos”
lui donnent une continuité avec des gravures d’artistes très reconnus.
Le corpus de l’exposition en montre une sélection avec des noms aussi célèbres que Günter Grass, Arroyo, Guinovart, Valdés, Plensa, Canogar,
Gordillo, Genovés ou John Berger, Eva Lootz, entre autres. On peut y voir le processus de Víctor Mira (croquis, planche et original)
et y découvrir aussi des interviews, des livres d’artistes, des affiches et des catalogues d’expositions.
La fin du parcours met en valeur le travail didactique de l’Atelier de gravure, avec des spécialistes comme Monir, et le Goya Street Art
avec des artistes de graffitis comme Belin.
L’idée est que, tous les trois mois, des toiles urbaines rhabillent l’imposante façade en béton (à l’origine un blockhaus) de Trempolino.
Le projet baptisé le Mur de Nantes, est mis en oeuvre par le collectif Plus de Couleurs
à la demande de la ville de Nantes.
Après « ROUGE #1 » de la plasticienne bordelaise Jessica Hartley, alias Rouge, puis "SELAH #2", "SHANE #3" et "BIMS #4" depuis le 21 septembre 2021
c'est désormais "ZEKLO #5 un nouveau graff monumental qui habille l'un des murs de Trempolino du 12 février au 1er avril 2022.
du 8 au 12 février, le public est également invité à apprécier le travail de l’artiste en pleine réalisation de cette nouvelle oeuvre artistique et éphémère
de l’artiste ZEKLO
C'est par le biais de son père musicien, et grâce aux bandes dessinées et aux films d'animation de sa jeunesse que ZEKLO développe son
appétence pour le dessin et la pratique artistique.
A partir de 2003, le graffiti s'impose à lui, décuplant son expérience de la
peinture : les supports s'agrandissent, le geste évolue et les combinaisons semblent illimitées. De 2010 à 2013, il acquiert de l'expérience,
se professionnalise et participe à plusieurs festivals internationaux de Street Art. Londres, Marrakech, Copenhague.
Le style de ZEKLO interpelle : il innove et se démarque par ses portraits monumentaux, ses couleurs et de ses figures chimériques.
Les peintures de ZEKLO sont des figures incertaines façonnées par la spontanéité de son geste et l'éphémérité de ses modèles :
des morceaux de vies, tracés et assemblés, suspendus dans la matière de la peinture.
« La fresquile », graffiti géant, sur une surface de 100 m2. avait eté réalisé le 7 juillet 2015 sur un mur Hangar 20, quai des Antilles à Nantes, entre la Cantine du Voyage et la grue jaune. Nous la devons au graffeur Nantais Ador et aux étudiants de l’école de la Joliverie en bac pro des métiers de l’imprimerie, sous le pilotage du studio Katra (design multidisciplinaire). Cette fresque initialement prévue pour durer deux ans vient d'être remplacée sept ans plus tard par une nouvelle oeuvre d'Ador toujours avec le studio KATRA.
SUPER Galerie est un objet super nomade et super modulable, qui tient sa genèse de par son socle, une remorque comme unique support.
En donnant volume à cette surface, il résulte un espace étroit et confiné généré par les dimensions optimisées de ce plateau, proche des 7m2.
Cet espace offre la possibilité aux étudiants de montrer leurs productions plastiques dans des contextes inédits !
On peut la croiser à chaque coin de rue, sur une place publique, sur un campus ou au sein d’une école. Se laisser surprendre par son contenu.
Sculpture, projection, peinture, photographie, installation et performance à l’occasion. C’est un espace qui laisse passer la lumière naturelle
ou celle du reverbère. Laisser y pénétrer son regard curieux, pour apercevoir des formes qui dansent avec le gris couleur trottoir,
le vert végétal, le camaïeu du pavé et le noir bitume.
SUPER Galerie se veut un outil d’expérimentation, de sa conception, à sa programmation jusqu’à sa diffusion. La galerie soutient la création étudiante et émergente en défendant la recherche, l’interaction et la mutualisation des compétences.
Tous les étudiants et jeunes artistes sont invités à s’approprier l’objet et devenir le lieu de tous les possibles.
Trente drapeaux originaux installés de façon à former un dégradé, allant du plus sombre au plus clair, flottent sur les rebords de fenêtres
du 5-6 rue du chateau à Nantes.
le projet, intitulé « Flag club », a été lancé par trois habitants de l’immeuble du 15 rue de Strasbourg : Adrien Bonnerot, designer et plasticien,
sa compagne, Caroll Maréchal, graphiste et doctorante en sciences sociales, et leur voisin, Maxime Darmian, illustrateur et graphiste.
L’idée a germé pendant les confinements: « Après avoir dessiné des drapeaux avec ma fille pendant un confinement, on s’était dit en rigolant
qu’on pourrait en faire une exposition sur la façade de l’immeuble », raconte Adrien Bonnerot.
« L’objectif était de créer du commun
entre les voisins autour du projet mais aussi de proposer une autre forme d’art urbain, comme on le voit souvent à Nantes », explique-t-il.
Le principe : A chaque « round », ou session d’exposition, des artistes sont invités à créer un drapeau qui sera par la suite exposé sur la façade
de l’immeuble des co-initiateurs.
pour cette première session, Adrien B. et Maxime D. ont invité 8 artistes, majoritairement nantais,
à les accompagner tous deux en proposant librement une image à imprimer sur un drapeau, « de façon assez simple et intuitive ».
Pas de règle, pas de contrainte.
Certains ont laissé une place centrale à « un objet ou un dessin », d’autres ont préféré
travailler sur des « motifs ».
Les membres du Flag Club ont la volonté de proposer dans le futur d’autres expositions sur cette façade en conviant commissaires
d’expositions et/ou artistes à l’investir.
Face à la catastrophe subie par les populations en Ukraine, Mykola Mudryk , artiste ukrainien résidant à Nantes,
avec le soutien du lieu unique et du collectif Bonus, ont décidé d'agir et de récolter des fonds.
Ils ont organisé une grande collecte d'oeuvres qui seront vendues au lieu unique ce week-end.
Vous êtes invités à venir ce week-end au lieu unique, pour découvrir cette collection et acheter une oeuvre,
en faisant un don sur le site de la croix-rouge.fr.
notre (modeste) contribution:
l'achat d'une sculpture de François-Noël Homerin, du nom d’artiste Fran, sculpteur, graphiste et illustrateur. Après des études d’arts appliqués,
il a travaillé dans une agence de publicité en communication visuelle, pendant dix ans. « Enfant, j’ai dû être très influencé par
l’univers des super-héros.»
Aujourd’hui, travailleur indépendant établi 93 Bd DE LA PRAIRIE AU DUC à NANTES il sculpte des silhouettes en
mouvement avec des poses de danses ou d’arts martiaux. « La quête du mouvement est l'épicentrede mes recherches... Suivant la manière dont
je vais l’assembler, il se posera sur le mur ou suspendu dans les airs », explique-t-il.
Pour confectionner ses personnages mi-humains mi-robots, qu’il appelle Méckha Blast, il utilise des bandelettes de papier kraft collées
sur une structure métallique.
"Je déchire, j'assemble, j'écrase le papier sur le squelette métallique... Les volumes prennent vie!"