"Élégance Animale"
Michel BASSOMPIERRE

Centre ville et Moulin Gautron
44120 - VERTOU
Du 16 novembre 2024 au 23 février 2025.

Pour rester fidèle aux convictions de Michel BASSOMPIERRE Grand Maître de la sculpture animalière. et s’inscrire dans le sens des engagements de la Ville de Vertou en termes de préservation de l’environnement, l'exposition "Élégance Animale" parrainée par l’acteur François CLUZET, est à ce jour la plus grande exposition de l’artiste,
Au total, ce sont 17 œuvres monumentales qui seront visibles dans les différents lieux emblématiques de Vertou. D’autres de ces œuvres seront exposées au Moulin Gautron.
Privilégiant les animaux aux formes rondes, ours, gorilles, éléphants d’Asie, pandas, ou encore chevaux qu’il transcrit en bronze ou marbre de Carrare, Michel BASSOMPIERRE parvient à une forme à la fois douce et précise où jamais la lumière ne vient heurter l’ombre. Fort d’une anatomie et d’un dessin parfaitement maitrisés, son travail montre une animalité qui ne se fait plus hostile mais paisible et bienveillante. Il se débarrasse de l’anecdote pour aller à l’essentiel : une forme pure, des courbes délicates, une lumière enveloppante qui souligne la rondeur des masses dont émanent tendresse et poésie. Loin de tout anthropomorphisme, il représente son « frère animal » tel qu’il est, empreint de quiétude, magnétique et majestueux.
NB : Lucho n'est pas eu le temps d'aller du côté du Moulin Gautron il n'a donc photographié que 14 sculptures

Rond point de Vertou


Cour et Jardin


Place St Martin


Libre Cour


Place Beau Verger


la chaussée des Moines







"Le Marché des Arts"

6 boulevard de la Prairie-au-Duc.
Ouvert le matin de 7h à 14h (du mercredi au dimanche) et le soir (18h-21h) du jeudi au samedi.

Il fallait oser !
Jean-Marie Nex, promoteur, et Maryam Lhotellier, architecte. l'ont fait :
Depuis le 6 novembre un authentique marché couvert est ouvert sur l'ile de Nantes à deux pas de la place de la République. Va-il- concurrencer l'historique Marché de Talensac, je ne le pense pas, mais ce qui est sur c'est qu'il symbolise parfaitement l'image de ce quartier populaire en pleine mutation immobilière qui entend garder son âme.
Le marché : C’est un ancien garage automobile, à l’entrée du boulevard de la Prairie-au-Duc, reconverti en marché « traditionnel et artistique », à deux pas de la place de la République. Dans une vaste halle mêlant bois, murs en pierre apparente et notes végétales, une demi-douzaine de commerçants accueillent leurs premiers clients depuis le 6 novembre. La boucherie des Arts, la fromagerie Beillevaire, la poissonnerie Ivan Garber, le traiteur italien La Tour de Pise, le producteur Ferme de la forêt, le primeur CG Primeurs et Le Fondant Baulois sont les premiers à investir les lieux. À terme, 19 artisans, restaurateurs et producteurs locaux seront réunis sous le même toit. Avec la possibilité pour la clientèle de se restaurer et boire un verre sur place.
Aux beaux jours, les clients pourront profiter de la centaine de places assises dans la cour où trône, au centre, un « olivier de la paix ».
Un bateau, œuvre d’art éphémère signée Florent Poujade, accueille les visiteurs qui retrouvent à l’intérieur d’autres installations en métal du sculpteur spécialiste de la récup’. En écho au quartier « qui réunit les écoles des Beaux-Arts, d’architecture et de design », le marché a été pensé comme une galerie d’art : « C’est l’art dans son ensemble, y compris l’art culinaire. »













"Carnaval 2025"

Parcours en ville - 44000 - NANTES
Carnaval de jour, dimanche 30 mars, à partir de 14 h 30 (centre-ville).
Carnaval de nuit, samedi 12 avril, à partir de 21 h (centre-ville).
Carnaval des enfants, samedi 5 avril, de 14 h 30 à 17 h 30 (rendez-vous sur l'Esplanade des Traceurs de coque).

Le Carnaval de jour,
dimanche 30 mars

Plus que jamais, le carnaval de Nantes fera voyager aux quatre coins du monde.
Pour cette nouvelle édition, les organisateurs ont prévu de mettre à l’honneur les traditions carnavalesques et festives de tous les continents. Un carnaval dans les carnavals en somme, comme une mise en abyme de la fête. « Le carnaval est un rendez-vous hautement fédérateur et il nous a semblé intéressant de faire goûter aux Nantais la richesse des grands évènements festifs d’ailleurs, déclare Paul Billaudeau, président de l’association NEMO qui coordonne la préparation de l’évènement.
Des allégories monumentales, représenteront chacun une fête parmi les 14 traditions populaires sélectionnées :
Carnaval de Venise (Italie), Fête des morts (Mexique), Pow wow (fête amérindienne), Oktoberfest (Allemande), Halloween (fête anglo-saxonne), Up Helly AA, dite fête du feu (Écosse, tradition viking), Fête des couleurs (Inde), Saint-Patrick (Irlande), Carnaval de Québec (Canada), Fête de San Fermin (Pampelune, Espagne), Carnaval de Berne (Suisse), Fête du soleil (Pérou), Nouvel an chinois (Chine), Fête du thé (Vietnam).
À leurs côtés, musique et costumes bariolés animeront le défilé de ces mastodontes,

les 14 chars dans l'ordre du Défilé

"Place auX mondeS"

Cette année, l’événement porté par Nantes Métropole et la Ville de Nantes se déploie encore davantage sur le territoire métropolitain grâce à l’engagement des communes de la métropole : Bouaye, Bouguenais, La Chapelle-sur-Erdre, Indre, Nantes, Saint-Herblain, Saint-Jean-de-Boiseau et Sainte-Luce-sur-Loire.

Journée internationale de la Francophonie,

Place royale - 44000 - NANTES
jeudi 20 mars à partir de 19h

La Ville de Nantes vous invite à un événement exceptionnel pour célébrer la langue française et la richesse de la culture francophone.
La Place Royale s'illumine aux couleurs de la Francophonie, tandis que le Chœur Universitaire de Nantes propose un concert, composé de voix locales interprétant des chants provenant des quatre coins du monde francophone.
Ce moment unique met en lumière la Francophonie à Nantes et renforce les liens entre toutes les communautés francophones.


"Puhpowee"
(Soirée d'ouverture)

Musée d'Art de Nantes - 44000 - NANTES
10, rue Georges Clemenceau - 44000 - NANTES

10, rue Georges Clemenceau - 44000 - NANTES
le vendredi 21 mars à 20h30

Performance danse/vidéo/musique et voix Création collective, partagée entre La Luna et des habitants et habitantes des quartiers nantais qui travaillent régulièrement avec le collectif, «Puhpowee» propose de questionner à travers la danse et la voix, la place de chacun dans le monde, le rapport à l'environnement et à la planète, le rapport à l'autre














"PERFORMANCE"
Exposition de la commande photographique nationale « PERFORMANCE »
une proposition du Centre Claude Cahun en partenariat avec le Centre national des arts plastiques (CNAP)
les artistes : Laurence AËGERTER, Nestor BENEDINI, Yassine BOUSSAADOUN, Suzanne HETZEL, Mana KIKUTA Samir LAGHOUATI-RASHWAN, Lila NEUTRE, Céleste ROGOSIN, Assaf SHOSHAN, Robin TUTENGES

l'Atelier- 1, rue de Chateaubriand - 44000 - NANTES
Du 6février au 30 mars 2025.
Du lundi au samedi de 13h à 19h - dimanche de de 11h à 13h30 et de de 14h30 à 18h - Fermé le lundi et les jours fériés



Les relations dynamiques entre image et sport sont liées – entre autres spécificités – au développement de la notion de performance, en tous lieux de la société. Comment les impératifs de compétition et d’excellence, les valeurs d’universalisme portées par les Jeux Olympiques et Paralympiques peuvent-ils être figurés aujourd’hui ? Représenter le sport autrement, au-delà des schèmes habituellement liés à sa retransmission médiatique, est un enjeu toujours renouvelé. Pour la photographie, qui ne connaît pas de règles, c’est aussi un lieu d’entrecroisement d’esthétiques, de la communication visuelle à l’art, du reportage au tableau, de la mode aux nouvelles cultures urbaines. Dans la continuité des grandes commandes de l’État dans le domaine de la photographie, ce projet a pour but de reconnaître et d’encourager la vitalité de la création contemporaine dans le champ de la photographie.
10 photographes abordent le terrain du sport : escalade, skateboard, sports mécaniques mais aussi breakdance ou sports imaginaires....
Cette exposition est réalisée dans le cadre des Journées de la Photographie à Nantes.

Laurence AËGERTER - "La Montagne allégorique"

Sport ancestral pratiqué dans des conditions extrêmes, l’escalade est envisagée par Laurence Aëgerter comme une allégorie du parcours d’une vie, parsemé de difficultés, où chacun doit trouver sa voie.
Afin de réaliser son projet, La Montagne allégorique, elle travaille avec des jeunes placés en foyers sociaux spécialisés, en France et en Allemagne. Le vocabulaire visuel de l’escalade est transposé en des compositions qui expriment le rôle essentiel du sport dans le développement de la personnalité et la multiplication des chances.



Nestor BENEDINI - "Breakin’ Codes"

Nestor Benedini a connu et pratiqué le breakdance bien avant qu’il ne découvre la photographie. Désormais, il est passé de l’autre côté de l’objectif et représente cette expression de la culture Hip-Hop depuis son appartenance à cette communauté.
Le breakdance devient une discipline olympique en 2024, à l’occasion des Jeux de Paris. Considéré comme un art ou un sport selon les sensibilités, le breakdance est révélé par Nestor Benedini à la fois comme exploit performantiel, prouesse physique, et expression d’une culture internationalisée, abolissant les frontières, porteuse de valeurs effaçant les identités sociales pour créer un collectif.
Les images sont expurgées des codes accompagnant habituellement le break, pour se concentrer sur les gestes, figés ou montrés dans le déploiement du mouvement et de l’énergie qui irrigue les corps des B-boys et B-girls. La grande image Battle Scene montre les fragments de corps reliés et s’enchaînant dans une figure virtuose née de cette tension de « l’énergie du sol ».



Céleste Rogosin - "Écho des rivages"

Pour réaliser son projet Écho des rivages, Céleste Rogosin utilise une caméra spécifique permettant une prise de vue en 3D, afin de restituer la volumétrie des corps par l’enregistrement d’un nuage de points.
Elle photographie des danseurs B-boys de la communauté breakdance calaisienne 7 et inscrit leurs figures sur des paysages des rives de la Manche, entre Calais et Boulogne-sur-Mer, lieux d’où les personnes en exil tentent de passer vers l’Angleterre. La granularité de la photogrammétrie vient se confondre avec le sable des dunes, en donnant une apparence fantomatique aux corps, afin d’évoquer le paradoxe entre l’omniprésence des outils contemporains de captation des images et l’invisibilité des corps sur ce territoire de frontière.



Mana Kikuta - "Quatre objets de la vie quotidienne et quatre bouteilles"

L’équipe Smart ArM (Sorbonne Université) répare une prothèse de bras pour s’entraîner en vue de sa participation au Cybathlon Challenge 2023. Pour mettre en lumière les outils qui augmentent ou remplacent le corps, Mana Kikuta explore le monde de la recherche appliquée, où des dispositifs robotiques sont conçus et expérimentés. Dans le laboratoire des scientifiques et techniciens, elle observe les moments de mise au point et d’entraînement d’une personne équipée d’un bras artificiel. Cet athlète se prépare aux épreuves spécifiques d’une compétition sportive, le Cybathlon, visant à l’amélioration de ces dispositifs destinés aux personnes handicapées.
À travers cette course à la performance chronométrée, elle met en évidence la beauté de ces gestes autorisés par une technologie qui transforme les vies. Par le jeu avec la profondeur de champ, elle met en parallèle la capacité de la photographie à créer intentionnellement des flous et la capacité de la technologie à créer de nouvelles possibilités de vivre librement avec ses manques.



Robin Tutenges - "On Asphalt We Grow"

Photoreporter et skater, Robin Tutenges est allé en Ukraine à la rencontre de la communauté des pratiquants du skateboard. Découvrant une communauté soudée, il montre comment les jeunes skaters ukrainiens se réapproprient les espaces marqués par la guerre, en reprenant en main leur vie dans un contexte où tous les repères sont brouillés. Le skate devient un espace vital, véritable soutien psychologique, maillon essentiel de la vie de ces jeunes en temps de guerre. Les valeurs de ce sport,
entré récemment dans la compétition olympique, sont renforcées en permettant de tenir le coup : inclusion, respect, solidarité, dépassement de soi, jusqu’à en oublier les fracas du monde.



Lila Neutre - "Twerk Nation"

Le corps, son apparence et ses compétences physiques sont au cœur de la pratique de Lila Neutre, artiste chercheuse. Elle travaille avec des pratiquantes du twerk, discipline abordée comme lieu d’émancipation et de lutte contre les stéréotypes. Le corps y est travaillé sur un double niveau : athlétique et symbolique. Les danseuses font l’expérience du pouvoir de la transformation et de la performance, comprise comme compétence physique et mise en scène de soi. « Être un objet de désir et travailler son apparence n’est pas synonyme de soumission à un modèle patriarcal, mais symbolise au contraire la femme forte, maîtresse de son corps », nous explique l’artiste. Cette affirmation de la dimension politique du concept de performance est mise en forme en s’inspirant de l’esthétique des compétitions mais aussi en décontextualisant les membres d’un collectif marseillais, la famille Maraboutage, par leur portrait dans des paysages rocailleux, pour mieux affirmer la dimension performative de la construction de soi.



Assaf Shoshan - "Jeu et Théorie"

Au plus près des visages et des gestes dessinés par les corps, Assaf Shoshan observe les émotions qui traversent les sportifs au cours de l’action. Par l’usage d’un objectif à longue focale et d’une vitesse d’obturation rapide, il capte et enregistre dans une fraction de seconde ce qui échappe au regard dans la rapidité d’un match. Les mouvements arrêtés, l’image se concentre sur les expressions, sur l’épiderme et les regards pour révéler l’absorbement dans leur concentration de sportifs tout entiers investis dans la recherche de l’adéquation de leur corps au but qui lui est fixé. Avant puis après l’effort, dans la suspension de l’instant au moment du geste décisif, dans le calme et la concentration, dans la déception de la défaite ou la joie de la victoire, se révèle l’énigme de la beauté qui innerve nos vies.



Samir Laghouati-Rashwan - "Tu cross?"

À partir d’une recherche iconographique sur la pratique du cabrage de moto, plus communément appelée « roue arrière », Samir Laghouati-Rashwan investit d’un point de vue sociologique et anthropologique ce sport urbain non-officiel. En créant une imagerie inédite, actualisant dans le présent une longue histoire de figures masculines exprimant divers registres du pouvoir dans le cabrage d’un cheval, il dépasse les répartitions genrées et stéréotypées, pour approcher une histoire invisibilisée, celle des femmes cavalières, des hommes non-occidentaux et issus des diasporas. Par l’articulation du texte et de l’image, il invente une forme inédite issue du roman photo. Dans ces bulles de conversation s’affichant dans le ciel s’exprime la mémoire de vies oubliées, s’arrachant à la pesanteur terrestre.



Suzanne Hetzel - "Roche ailée"

Pour réaliser son projet Roche ailée, Suzanne Hetzel a repris l’escalade, qu’elle avait pratiquée assidûment au début des années 2000. Depuis sa propre expérience de confrontation au vide, l’artiste observe au plus près la paroi, en la regardant intensément, pour la considérer comme un lieu habité d’une multitude de formes de vies. La main vient se glisser dans l’anfractuosité de la roche en faisant corps avec elle. Dans la fissure qui lui sert de prise, elle relève le moindre détail des végétaux, lichens, traces d’animaux et de ces autres animaux que sont les membres de l’espèce humaine. Des sculptures de céramique viennent s’articuler aux images pour nous faire approcher cette identification de la prise comme un lieu où d’autres vies viennent se loger et s’épanouir. Cette pratique d’un « slow sport », d’un sport au ralenti comme on parle de « slow food » (cuisine ralentie) lui autorise une photographie méditative, sensorielle, poétique qui exprime une philosophie de l’existence, compréhensive de la richesse et de la complexité du vivant.



"Nantes diplomatique !
Des bords de Loire aux quatre coins du monde,
la diplomatie proche de vous."


Cosmopolis - 18 Rue Scribe -44000 - NANTES
11 au 15 Mars 2025
Horaires :
mardi au vendredi : 10h00 - 18h00 - Samedi : 14h00 - 16h00

premiere partie : Diplomatie et bande dessinée. La France et le monde depuis 1945
De la création de l’ONU au 11 septembre 2001, découvrez les regards croisés des diplomates témoins de l’époque et d’auteurs de BD sur les grands événements historiques.

seconde partie : De l’encrier à la signature cryptée : 60 ans de modernisation de l’état civil
D’un simple prénom au XIIème siècle à une identité juridique en quelques clics, cette exposition vous plongera dans l’histoire fascinante de nos identités, clé de nos droits.
Des premiers registres paroissiaux à la dématérialisation totale, en passant par les microfilms, explorez comment cet élément crucial de nos vies est passé du papier à la signature cryptée.
L’état civil est ce qui officialise notre existence aux yeux du monde. Sans elle nous n’existons pas. Cet élément essentiel, témoin de nos vies, garantit les droits de chacun n’importe où dans le monde.

troisieme partie : L’art du chiffre : protéger le secret de la diplomatie
Explorez l’évolution des techniques de chiffrement, utilisées pour préserver le secret des correspondances diplomatiques les plus sensibles. De l’écriture dissimulée aux codes modernes, plongez dans l’histoire fascinante de cet art essentiel à la communication et à la diplomatie.

premiere partie :






seconde partie :


troisieme partie :


"L’Afrique en mouvement, le pouvoir de la danse
Flora Théfaine, une trajectoire"

exposition de l’association MUVACAN, en partenariat avec le CCNN


Cosmopolis - 18 Rue Scribe -44000 - NANTES
23 Jan 2025 - 01 Mars 2025
Horaires :
Lundi au vendredi : 13:30 - 18:00 - Samedi & Dimanche : 14:00 - 18:00

À travers la trajectoire de Flora Théfaine, chorégraphe nantaise d’origine togolaise, l’exposition met en lumière l’héritage des danses africaines – sacrées, rituelles et profanes – et leur transformation contemporaine.
Ce voyage, aux côtés de figures comme Germaine Acogny, Salia Sanou, Elsa Wolliaston et Alphonse Tiérou… explore comment ces danses ont transcendé les frontières pour résonner à travers le monde. Entre rythmes, musiques et masques, il dévoile leur évolution sur les scènes contemporaines et leur pouvoir de connecter les générations et les cultures.

premiere partie : Flora Théfaine


seconde partie : l'Afrique en mouvement (transformation contemporaine des danses africaines)


* troisieme partie : l'importance des masques et les danses traditionnelles (sacrées, rituelles et profanes)







"Paquebots 1913-1942.
Une esthétique transatlantique"

salles au niveau 1 et 2 du Cube musée d'art de nantes
10, rue Georges Clemenceau - 44000 - NANTES
25 Octobre 2024 — 23 Février 2025"Le Musée d’arts est ouvert tous les jours, de 11h à 19h, sauf le mardi. Ouverture en nocturne le jeudi de 19h à 21h (entrée gratuite).

Seul trait d’union entre la Vieille Europe et l’Amérique au début du 20e siècle, le paquebot impressionne les artistes par son immensité et sa machinerie de pointe dédiée à la vitesse. Comme sur une scène de théâtre au milieu de l’océan, nationalités et milieux sociaux s’y croisent, le temps d’une traversée.
Expérience inédite de voyage, ces palaces flottants ont bouleversé le rapport au temps. Instant suspendu, la traversée transatlantique de plusieurs jours favorise les rencontres inattendues et réinvente la mode, le design et la vie quotidienne. Jusqu’à l’arrivée à New York, où la ville dresse de nouvelles lignes avec ses nombreux buildings, géants d’acier se confondant avec les géants des mers.
L’exposition explore le rôle de ces géants des mers dans l’évolution de l’art moderne à l’échelle internationale.
Objet de rêve et de fascination dans les milieux d’avant-garde du début du 20e siècle, le paquebot a inspiré de nombreux artistes : peintres, photographes, cinéastes, architectes et affichistes dont Cassandre, Marcel Duchamp, Fernand Léger, Albert Gleizes, Eileen Gray ou encore les américains Walker Evans, Charles Demuth et Charles Sheeler.
Œuvre d’art totale pour ses différents créateurs (aérodynamisme nautique, décor, architecture, mobilier), les paquebots sont une source d’inspiration pour les expérimentations des avantgardes qui le déclinent jusqu’à l’obsession. Peintres (Fernand Léger, Felix Del Marle, Charles Demuth, Jules Lefranc), photographes (André Kertesz, Jean Moral, Pierre Boucher, François Tuefferd), affichistes (Cassandre, Paul Colin), architectes (Eileen Gray, Robert Mallet-Stevens, Le Corbusier) et cinéastes (Walter Ruttmann, Buster Keaton) de tous pays s’emparent de l’image de ces géants des mers, explorant leurs silhouettes fuselées à la monumentalité menaçante ou décortiquant au contraire la perfection de leurs machineries parfois jusqu’à l’abstraction. Les photographies aux cadrages inédits et les tableaux particulièrement dynamiques d’hélices, de cheminées et de proues monumentales rejoignent le graphisme géométrique, quasi architectural, de publicistes de génie comme Cassandre (Paquebot Normandie, Le Havre–Southampton-New York, 1935), créant un nouveau langage international.
Ce sont plus de 180 œuvres qui nous font vivre un voyage en deux temps :
Tandis que la première partie de l’exposition démontre que l’objet paquebot lui-même a fasciné les artistes d’avant-garde, de la photographie à l’architecture, en passant par la peinture et l’affiche, la seconde partie étudie l’expérience du voyage, entre le luxe feutré des décors intérieurs Art Déco, la vie de loisirs en plein-air sur les ponts, et plus profondément, l’étrange expérience de la vie à bord, dont rend compte en particulier le cinéma de l’époque.

premiere partie : Une esthétique transatlantique



Peinture, cinéma, photographie, affiches… l’imaginaire des paquebots a inspiré les artistes, nourrissant un langage international commun entre l es arts, la presse et la publicité. Le génial graphiste Cassandre est sans doute l’un des plus iconiques représentants de cette esthétique. En photographie, de nouvelles techniques d’impression et de prises de vue permettent des cadrages plus créatifs et graphiques, qui soulignent le gigantisme et le dynamisme des proues et des cheminées.
Les paquebots inspirent aussi les architectes et designers. Tel Le Corbusier, Robert Mallet-Stevens ou Eileen Gray, qui inventent une esthétique architecturale inspirée de celle des paquebots.

AFFICHES

DESSINS, PEINTURES et PHOTOGRAPHIES


seconde partie : Bienvenue à bord



Véritable palace flottant, tout est fait pour transformer le paquebot en rassurant hôtel luxueux au style Art Déco.
À bord, une micro société se crée, rassemblant des voyageurs des plus aisés aux plus modestes. On s’habille pour sortir le soir, on se promène sur les ponts, on se prélasse sur les transats et on s’occupe même avec des jeux divers.
La traversée devient un lieu de rencontres, notamment pour les artistes d’avant-garde comme Marcel Duchamp ou Fernand Léger. Peintres, écrivains, photographes… Tous ont été nourris dans leur travail de la richesse de ces rencontres.

A BORD




L'EMBARQUEMENT

LA TRAVERSEE



A L'ARRIVEE, LE PORT


EPILOGUE


"Peaches and Cream"
Michaela Sanson-Braun

Parvis - musée d'art de nantes - 10, rue Georges Clemenceau - 44000 - NANTES
Du 15 janvier 2025 au 4 janvier 2026

Peaches and Cream se compose de fragments d’anciennes sculptures et de copies volontairement imparfaites d’éléments architecturaux anciens et récents, mêlés subtilement à des détails d’œuvres de la collection du musée ainsi que de son architecture. L’ensemble est aggloméré en une pseudo-ruine extravagante. Cette composition de reproductions agencées en désordre intègre esthétiquement les étapes de la production et imite le tuffeau en écho à la façade néo-classique.
Les réflexions lumineuses d’un vitrail absent peintes sur la surface et le sol de ce vestige chaotique, suggèrent une beauté de l’instant face aux incohérentes strates du temps.
Le titre, Peaches and Cream, fait allusion, d’une part, à l’abondance d’ornementations et de stimuli visuels, et d’autre part, à l’expression anglaise qui décrit une situation idéale où tout se déroule sans encombre, tout en adoptant une posture ironisante avec l’assemblage bancal des fragments architecturaux qui évoque un monde en ébullition et en péril.

"Strates"
un dialogue entre art et archéologie de Françoise Vanneraud

Passage Sainte-Croix - 9 Rue de la Baclerie - 44000 - NANTES
DU JEUDI 12 DÉCEMBRE 2024 AU SAMEDI 8 MARS 2025
DU MARDI AU SAMEDI DE 12H À 18H30

Le Passage Sainte-Croix s’associe au Chronographe, fermé pour travaux, pour présenter une exposition exceptionnelle dans laquelle archéologie et art contemporain dialoguent.
Françoise Vanneraud, artiste plasticienne, vient questionner les notions de trace archéologique et de paysage. Ses œuvres dialoguent avec des objets archéologiques issus des collections du Chronographe, trouvés lors de fouilles. Son travail s’articule autour de la perception subjective du temps et de l’espace à travers les notions d’errance, de mémoire et de temps. Diplômée des Beaux-Arts de Nantes, Françoise Vanneraud travaille aujourd’hui entre Madrid et Paris où elle expose ses recherches autour du paysage, du territoire et de la trace. Elle maîtrise plusieurs disciplines: la photographie, l’installation, la sculpture… qu’elle combine pour créer des univers à part entière et immersifs.



le Mur-Nantes

#15 - Bulea
"FINAL"

Trampolino - Angle des boulevards Léon-Bureau et de la Prairie-au-Duc, - 44200 - Ile De NANTES
Fresque visible 18 juin au 25 mars 2025

L’idée est que, tous les trois mois, des toiles urbaines rhabillent l’imposante façade en béton (à l’origine un blockhaus) de Trempolino.
Le projet baptisé le Mur Nantes (MUR = Modulable, Urbain et Réactif), est mis en oeuvre par le collectif Plus de Couleurs à la demande de la ville de Nantes.
A travers ce projet, Plus de Couleurs souhaite proposer de l’art accessible à tous, créer la surprise et animer la ville tout en mettant en lumière la diversité de l’art urbain actuel.
Pour cette 4e saison, la direction artistique, pilotée par l’équipe de Plus de Couleurs, reste la même. Mélange de style et de technique, artistes confirmés ou émergents, valorisation des différents styles picturaux présents dans l’art urbain et enchaînement permettant une forte cassure visuelle. C’est cette recette inchangée qui permet au projet et aux artistes de gagner en visibilité et d'être toujours au plus près du public.
*les saisons #1 et #2 ont été illustrées par « #1 : ROUGE", #2 : SELAH", "#3 :SHANE ", "#4 : BIMS ","#5 : ZEKLO", "#6 : LesGens".
*La 3e saison du projet Le Mur Nantes a été marquée par la présence d’artistes venus de toute part pour proposer des oeuvres uniques et percutantes : "#7 : ALFE"(Marseille), "#8 Matthieu Pommier" (Bordeaux),"#10 : Soem"(Nantes), "#11 : Iota" (Bruxelles).
*La 4ème saison a débuté par le mur de N.o.Madski également connu sous le nom de Nomad qui a signé l'oeuvre ephémère #12, BOUDA lui a succédé pour signer #13.
La réalisation de la troisième fresque de la cette saison (#14), a été confiée à "OBISK ".
L'oeuvre #15 (4ème de cette 4èmesaison, est le fruit du travail de BULEA
Liviu Bulea est un artiste roumain né en 1989. Il a étudié à l'Université des arts et du design de Cluj, où il a mené, pour sa licence et sa maîtrise, une recherche artistique sur le corps malade, en se concentrant sur les souvenirs des espaces et des objets des services d'oncologie des hôpitaux.
Son domaine de recherche s'étend de la mémoire urbaine à son implication dans la communauté queer. Il est collectionneur et recueille des histoires, des souvenirs des lieux et des personnes qui l'entourent. Il peut être considéré comme "un artiste d'installation à pratique sociale". Liviu Bulea récupère des fragments de matériaux apparemment inutiles provenant de contextes précis : un mur de l'hôpital où il a été traité pour un cancer, le trottoir de la ville où il a grandi et des morceaux de béton d'un centre commercial construit dans sa communauté.
Il a notamment exposé ses œuvres au Urban Nation Museum de Berlin, à l'Institut culturel roumain de Berlin, à l'Institut culturel français de Cluj, au Musée national d'art de Cluj, au Musée d'art contemporain de Bucarest, au Mumok de Vienne, à Parallel Vienna, à la Biennale de Bucarest, etc. Il a également été accueilli en tant qu'artiste résident par Kultur Kontakt, Vienne, Styria Art in Residency, Graz, Urban Nation, Berlin, etc.
Le point de départ de cette nouvelle fresque est un selfie pris lors d’une soirée à Londres. Si la photographie d’origine a figé de manière précise cet instant, la mémoire de l’artiste n’en conserve qu’un vague souvenir. Pour traduire ce flou, Bulea utilise le noir et blanc et fait disparaître certains détails comme les yeux. Il crée alors une image intemporelle et nostalgique car ce plongeon dans le passé a ravivé d’autres souvenirs. D’associations d’idées en associations d’idées une nouvelle image se crée.
Ainsi autour des personnages principaux évoluent plusieurs fragments.
À gauche de la composition, l’artiste représente les buildings de Hong- Kong et les toits de Séoul, vus à travers les fenêtres d’un wagon. Ce paysage urbain nocturne est observé par deux silhouettes noires, peut-être deux graffeurs qui contemplent leur terrain de jeu.
Au centre, les flashs blancs et bleutés des soirées dans les clubs nantais illuminent les deux amis et guident le regard du spectateur vers une gare sous la neige. Ce lieu incontournable pour les voyageurs est aussi associé à l’art urbain. Par touche, l’artiste vient alors rappeler sa pratique du graffiti. Comme un dernier clin d’œil, il peint l’accessoire indispensable des road trips : un sac rempli de bombes aérosols.
Avec cette œuvre, Bulea nous emmène à la fois dans ses souvenirs mais aussi dans son univers artistique. Grâce à la couleur et à la fenêtre du wagon visible en haut , il unit ce pêle-mêle pour former une seule image hors du temps. Pour appuyer cette idée de moment indéfini, il ajoute une série de chiffres et de lettres rouge en bas à gauche qui contrairement aux photographies numériques n’indiquent aucune date précise.

Saison 5 reportée
Prochain mur (#16) le 25 mars 2025

Trampolino - Angle des boulevards Léon-Bureau et de la Prairie-au-Duc, - 44200 - Ile De NANTES
Fresque visible à partir du 25 mars 2025

La Maison du Port

99 Quai Wilson - 44200 - Ile De NANTES

... le 15 septembre 2024 !!!

... le 28 juin 2024 !!!



pres du pont des 3 continents

1, Quai Wilson - 44200 - Ile De NANTES

... le 15 septembre 2024 !!!



le mur extérieur du
"Jardin extraordinaire"

... le 05 juillet 2024 !!!


Passage Berthault

... le 16 juillet 2024 !!!