... C'est parti ... pour la huitième édition !!!

comment parcourir cette page ?

Elle est le reflet du parcours .... Chaque étape est illustrée par une miniature représentant , au mieux, le centre d'intérêt.
lors de sa découverte du parcours , Lucho "filme" et photographie... Les vidéos sont intégrées dans le texte ainsi que les photos .

Nota :


Certains n'auront pas envie de poursuivre la découverte du VAN sur mon site ou voudront parcourir, en avant première, le guide officiel ddu voyage.
Pour eux j'ai télécharger ce document...

Introduction au voyage:
La nuit du VAN

le samedi 6 juillet 2019 à partir de 10 h

Cette soirée est l'impulsion donnée à la découverte d'un parcours initiatique et inédit dans les rues de Nantes.
Etre présent,même si le Van dure tout l'été, voilà l'enjeu de cette nuit magique !!!

pour être "au top":

dès le 7 juin, l'office du tourisme de Nantes a édité un "guide". Lucho l'a digitalisé a votre intention afin que vous puissiez vivre au mieux l'événement !!! Cliquez sur la vignette Photo

Pour partager "la nuit du van" de Lucho, cliquez ici

le parcours en ville
ne sont notées ici que les nouveautés 2019 que Lucho a pu découvrir.
(les repères apparaissent en rouge sur la carte et dans mon texte...)


itinéraire van 2019




Repère 1 : Le Lieu Unique
1a - "INCOMING"
Richard Mosse



Richard Mosse, photographe irlandais, travaille sur les traces mnésiques de la violence guerrière. Sa démarche est autant plastique que politique.
La guerre, les persécutions, le changement climatique… sont la cause de mouvements de migration de masse, les plus importants depuis la Seconde Guerre mondiale.
Avec Incoming, installation vidéo immersive composée d’écrans géants, Richard Mosse montre les voyages extrêmement difficiles et souvent tragiques des réfugiés. Le photographe s’est rendu sur deux des itinéraires d’exil les plus empruntés et les plus dangereux – l’un en provenance de l’est (Syrie, Irak, Afghanistan) via la Turquie ; l’autre en provenance du sud, de la région du Sahel jusqu’à la Libye via le désert du Sahara. Armé d’un appareil photo militaire dont la technologie permet de détecter la présence humaine grâce à la chaleur, il filme ces hommes en proie aux éléments, à l’hypothermie, qui tentent de survivre. Sur les images, la chaleur est lumineuse ; lorsqu’elle décroît, elle devient moins visible... Alors que l’attention de la société et des médias a tendance à s’émousser, l’artiste s’efforce de maintenir « le caractère brûlant de ces récits urgents de déplacement humain ».
Nota : retrouvvez les images de lucho en cliquant ici

Repère 6 : Chateau des Ducs de Bretagne
"AMAZONIE. LE CHAMANE ET LA PENSÉE DE LA FORÊT"
- EXPOSITION DU MUSÉE D’ETHNOGRAPHIE DE GENÈVE "




une exposition immersive ! Non couverte par Lucho
Nota :
cette exposition a un écho dans le parc du domaine de la Garenne-Lemot.
vous trouverez les photos de Lucho en bas de page rubrique : "le voyage dans le vignoble.

Repère 7 : Passage Saint- Croix
"RÉVERSION"
CÉCILE BEAU




Au travers de sculptures et d’installations sonores, Cécile Beau construit une œuvre minimale et sensorielle. Reconstituant ou agençant des fragments de nature, déplaçant des objets ou savoirs, elle nous propose des œuvres aux frontières de l’invisible et du réel. Non spectaculaires, elles renvoient à des phénomènes naturels dont la temporalité dépasse la perception humaine.
Pour Réversion, l’artiste a choisi comme matière première des minéraux et végétaux familiers afin de suggérer un pas de côté à nos perceptions habituelles. Pierres, arbres, grotte, puits proposent un temps d’écoute et de contemplation.
Dans l’ancien cloître, un jardin originel est évoqué par la réunion d’essences d’arbres issues d'un index biblique. Au centre de cet ensemble végétal, un vrombissement émane d’un rocher, entre respiration ronronnante et grondement tellurique. Plus loin, un arbre nu et son possible système racinaire affleurent le sol, alors que l’écho d’une goutte invisible s’élève du puits.
L’exploration se prolonge devant une cavité d’où bruissent les fluctuations d’un souffle d’air, révélant la topographie sonore d’une grotte. En face, trois aquariums inversent le processus classique de transformation d’un minerai natif en matière industrielle. Ici, plomb, cuivre et argent poussent par un procédé alchimique méconnu, nommé réversion




Repère 8 : Place du Bouffay - Rue des Echevins
"VESTIGE (15E S.)- LE TEMPS ENTRE LES PIERRES"
FLORA MOSCOVICI



C’est avec cette attention particulière que le regard de Flora Moscovici s’est porté sur cette énigmatique trace du passé, une haute cheminée évoquant l’intérieur de l’ancienne maison des Échevins, qui accueillait au 15e siècle les assemblées du conseil bourgeois avant la création d’une mairie en 1564.
Souhaitant faire surgir le potentiel plastique et émotionnel de cet intérieur devenu extérieur, Flora Moscovici intervient à même la pierre pour révéler, tout en finesse et respect, l’histoire et la mémoire du lieu.
Peints à la brosse, avec une palette de couleurs chatoyantes, les subtils dégradés de l’œuvre embrasent la cheminée. Afin de révéler la matérialité des pierres (du granit au tuffeau), la peinture, par des jeux de transparence, vient s’adapter à leur tonalité et à leur nature.

Repère 11 : Médiatheque
"PAS PERDUS. SUR LE PASSAGE DE GUY DEBORD À TRAVERS UNE ASSEZ COURTE UNITÉ DE TEMPS"
JEAN YVES COUSSEAU



Lors de leur première rencontre en 1987, le photographe Jean Yves Cousseau et l’écrivain situationniste Guy Debord amorcent le projet d’une anthologie littéraire et photographique mêlant photos de maisons d’écrivains et textes.
Une liste resurgira en 2007 dans l’édition de la Correspondance de Debord.
Jean Yves Cousseau se remet donc à l’œuvre pour donner à cette anthologie littéraire sa livrée argentique.
Deux partis pris ont présidé au choix de la cinquantaine d’œuvres exposées : la thématique de Nantes et les traitements photographiques de l’oxydation et de la colorisation.



Repère 20 : Maison de l'architecture - rue La -Noue-Bras-de Fer
"VARIATIONS"
ARCHITECTE : TITAN





L’agence Titan invite le spectateur à découvrir le travail d’expérimentation au centre de ses recherches architecturales.
Variations convoque les notions de temps, d’espace et de lumière. L’exposition révèle les études de ces architectes qui partagent un profond intérêt pour le faire et la matière. Ils mettent ainsi au premier plan leur travail d’investigation sur différentes formes de production, qu’elles soient naturelles, manuelles ou numériques.
Nota : retrouvvez les images de lucho en cliquant ici

Repère 23 : RUE DE LA TOUR-D’AUVERGNE
"LE PASSAGE"
EVA JOSPIN





Au cœur de l’île de Nantes, Eva Jospin investit un passage de plus de 50 mètres de long dans un bâtiment mêlant habitations et commerces, entre la rue de la Tour-d’Auvergne et la rue Pierre-Landais.
Aux entrées de la venelle, l’artiste a légèrement creusé les murs enduits de chaux. De légers sillons appellent à la découverte d’une œuvre à l’échelle du patio. Dans ce puits d’air et de lumière, Eva Jospin a conçu une treille. Autour du tronc, elle a patiemment fait jaillir des lianes, des feuillages et des branchages de cordes plus légères, teintées de couleurs ocre à brique.

Repère 25 : ATLANBOIS
BÂTIMENT B





Alors que l’on peut découvrir en façade du bâtiment, un des Nids de Tadashi Kawamata, pour la première fois cette année, une découverte de l'Atrium où sont présentées pour l’occasion les maquettes de l’artiste, est proposée tous les après-midi de 14h à 18h.



Repère 29 : HAB GALERIE
"IF ONLY THE SEA COULD SLEEP"
CLAIRE TABOURET
ASKA MATSUMIYA ET ALEX SOMERS (COMPOSITION SONORE)





Imaginant qu’il faille traverser les mers pour rejoindre Nantes, Claire Tabouret est allée chercher sur la côte californienne, dans le port de San Pedro, des voiles de navire qui deviennent le support de sa peinture. Découpées, tendues et recousues, ces nouvelles gigantesques toiles accueillent en leur surface l’ombre de silhouettes humaines.
Suspendues dans l’espace, les voiles sont laissées libres de bouger au gré des courants d’air et du passage du visiteur qui les traverse.
Tachées et usées par leurs différents voyages, elles sont tannées comme le serait un cuir. Beiges, écrus, jaunâtres, elles sont autant de peaux tatouées par les collages et la peinture de l’artiste.
Les silhouettes, féminines et masculines, marchent vers l’horizon, tournent le dos, se tiennent la main, s’embrassent, s’enlacent... Sans jamais aucune représentation d’arrièreplan, ces corps flottent dans un monde non identifié.




Repère 34 : PARC DES CHANTIERSPARC DES CHANTIERS ÎLE DE NANTES
"LA CALE 2 "

Cette année encore, La Cale 2 créateurs met la photographie à l’honneur avec une exposition qui invite à porter un nouveau regard sur le quotidien : scènes de vie d’ici et d’ailleurs. Elle rassemble une sélection de 13 artistes ayant participé au Festival photo Atout Sud .

Repère 37 : BLOCKHAUS DY.10
"HOOROR HITS"
MALACHI FARRELL

Malachi Farrell propose une exposition faite de récents hits, invitant à une plongée dans un univers drôle et dérangeant, parodiant l’horreur sociétale contemporaine.
À chacun de leurs passages, les visiteurs sont ainsi cernés par ses Dancing cameras. Installées initialement en pleine rue dans une cité de région parisienne, celles-ci dénoncent une société de surveillance dont les instruments de protection n’hésitent pas à tirer de manière aléatoire sur les passants.
Dans "Obsolescence", nous assistons à la condamnation unanime d’un livre, par un public hilare et méprisant, étant admis que l’obsolescence programmée de cet objet ne peut l’autoriser à vivre plus longtemps.
"Charmeur de serpents" fait danser de manière synchronisée des armes qui, par l’envoûtement des sons d’un pungi (clarinette des charmeurs de serpents), sont comme hypnotisées et rendues inoffensives.
Enfin, "Strange Fruit" soulève des questions sociales, politiques, identitaires et territoriales. L’expression, issue d’un poème d’Abel Meeropol écrit en 1937, compte parmi les réquisitoires artistiques les plus célèbres contre les lynchages pratiqués dans le sud des États-Unis. Aux paroles parodiées de She loves you des Beatles se superpose la vision d’une société violente qui n’hésite pas à pendre les hommes.

Repère 38 : QUAI DE LA FOSSE
"QUAI DES PLANTES "
UNE PROPOSITION DU SERVICE DES ESPACES VERTS ET DE L’ENVIRONNEMENT DE LA VILLE DE NANTES



Cette année, la pépinière éphémère à ciel ouvert prend racine au pont Anne-de-Bretagne et s’étend jusqu’à la gare maritime, pour offrir une promenade verte d’environ 600 mètres, comprenant 1 500 arbres de 200 variétés différentes issus de la pépinière municipale. Parmi les nouveautés : l’installation d’un potager, des plantes aquatiques.
L’événement Quai des plantes est une réponse aux attentes des habitants, qui, dans le cadre du Grand Débat « Nantes, la Loire et nous », ont exprimé le souhait de retrouver une proximité avec la Loire. C’est également une préfiguration des futures activités qui pourraient être mises en place sur les bords de Loire, toujours avec la volonté politique d’aménager plus d’espaces de nature en ville.

Repère 41 : BUTTE SAINTE-ANNE
"BELVÉDÈRE DE L’HERMITAGE "
TADASHI KAWAMATA



Pour Nantes, Tadashi Kawamata a imaginé Belvédère de l’Hermitage. L’ouvrage, fait de bois, s’ouvre par une étroite et longue passerelle, légèrement en pente et enserrée de hautes palissades, qui offre une perspective cadrée sur le ciel et le fleuve.
Afin de s’intégrer au mieux au paysage environnant, l’artiste a choisi deux essences de bois : du bilinga, un bois exotique, pour la structure porteuse, et du mélèze pré-grisé pour le platelage, la palissade et la résille du nid.
La passerelle mesure 2,80 mètres de large et s’avance sur 36 mètres de long dont 10 mètres en porte-à-faux au-dessus de la falaise, à près de 20 mètres du sol
Accrochées à la falaise, le belvédère évoque la forme ronde et précaire d’un nid d’hirondelle.

Repère 48 : PLACE GRASLIN
"HUMAN CLOCK "
MALACHI FARRELL, CONSTANTIN LEU, LUDOVIC NOBILEAU

Human Clock est une œuvre hybride née de la rencontre de la compagnie X/tnt, spécialiste d’interventions performatives dans l’espace public, codirigée par le metteur en scène Ludovic Nobileau, avec l’univers artistique d’un sculpteur, Malachi Farrell, et la présence hors norme du performeur horloger Constantin Leu.
À partir d’une œuvre de Malachi Farrell développant l’esthétique d’un coucou mécanisé et accessoirisé, "Give them an inch and they take a mile", les artistes ont imaginé faire vivre une horloge 24h/24, 7j/7 au cœur de la ville.
Avec cette œuvre mi-homme, mi-machine, ils proposent de renouer avec la tradition des horloges comme des œuvres alliant prouesse technique et artistique pour l’espace public. Les horloges ont été pendant des siècles au cœur des cités : battant les heures du jour, les temps de la vie, du baptême à la tombe, les alarmes pour signifier l’approche de dangers. Souvent positionnée au cœur de la cité, l’horloge surplombe une place publique et devient un lieu de rassemblement et d’émerveillement.


Repère 51 : PLACE ROYALE
"RECONSTITUER"
STÉPHANE VIGNY

Stéphane Vigny conçoit ses œuvres en regard à des situations.
Pour la place Royale, Stéphane Vigny rejoue la partition d’un projet qu’il a réalisé en 2015 à Maisons-Laffitte. Il présenteune étonnante collection de sculptures « toutes faites » en pierre reconstituée, telles qu’on peut les découvrir dans les magasins de décoration de jardin. Ces « copies de copies » de quelque déesse grecque, personnage mythologique ou statue emblématique de l’art antique agrémentent parfois nos jardins.
Aux côtés des copies du David de MichelAnge, de la Vénus de Milo, ou de la Victoire de Samothrace, des représentations de dieux ou demi-dieux, des allégories des saisons, des scènes extraites de la peinture de genre côtoient des reproductions de colonnes, vases, animaux, dans une disposition labyrinthique invitant à se perdre dans un véritable musée ouvert de la copie !

Repère 57 : PASSAGE BOUCHAUD
"JUNGLE INTÉRIEURE"
EVOR



Evor arrive à Nantes en même temps qu’il entre à l’École des beaux-arts en 1994. Depuis son installation dans un immeuble non loin de la place du Bouffay, sa passion dévorante pour les plantes l’a amené à créer, dans la cour minuscule d’un passage privé, un jardin suspendu, petite merveille végétale dont il prend soin quotidiennement.
Créée à l’occasion du Voyage à Nantes 2018, Jungle intérieure s’épanouit encore un peu plus et prolifère dans l’espace en se prolongeant dans la seconde arrière-cour du passage.
Les plus curieux peuvent désormais se hisser à quelques mètres du sol, via un escalier en bois conçu pour l’occasion, pour découvrir un point de vue inédit sur cette bulle verte dominée par le beffroi de l’église Sainte-Croix.

Repère 59 :MUSÉE D’ARTS DE NANTES
(PATIO)
"EN CHEMIN"
CHARBEL-JOSEPH H. BOUTROS, DOMINIQUE GHESQUIÈRE, PATRICK NEU, ÉVARISTE RICHER, ABRAHAM POINCHEVAL, ANNE-CHARLOTTE FINEL ET MARCELLINE DELBECQ.



L’exposition présente le travail de sept artistes portant un regard particulier sur la matière de la nature, prenant le temps d’en faire l’expérience et de la traduire esthétiquement. Elle explore la relation que les artistes entretiennent avec le milieu naturel et rend compte de rencontres ou d’actions ayant donné naissance à des formes à travers la sculpture, l’image fixe ou animée, le dessin ou le récit. La notion du rapport au temps qui s’inscrit comme une donnée inhérente au processus de création, qu’il soit dans le rapport à l’espace ou dans le moment du travail en atelier, y est particulièrement importante
















(CHAPELLE DE L’ORATOIRE)
" ÎNAINTE "
MIRCEA CANTOR

L’exposition met en perspective les directions artistiques engagées très tôt par Mircea Cantor avec ce qu’il a par la suite affirmé au cœur de son travail, réagissant à la fois aux notions d’identité, d’éthique, de politique, à la réalité contemporaine et ses contradictions. Des traces et des souvenirs se confrontent ainsi pour illustrer le mot roumain Înainte, ambigu, qui signifie, suivant le contexte, « en avant » ou « comme avant »






(PARVIS)
" PLANET MAN "
BEVIS MARTIN ET CHARLIE YOULE




L’œuvre Planet Man interroge la façon dont la figure du bonhomme est utilisée pour transmettre le savoir aux enfants, la perspective anthropomorphique donnant forme humaine aux chiffres, aux légumes, aux planètes. L’œuvre, objet improbable constitué de huit planètes, caricature avec humour les missions de l’art et de la pédagogie dans la transmission des concepts.

Repère 60 :JARDIN DES PLANTES
"ATTRACTION"
JOHANN LE GUILLERM

Johann Le Guillerm revient pour une deuxième saison investir le Jardin des plantes avec un projet mêlant de nouvelles créations à celles de l’an passé, dans différents espaces du jardin
Les nouvelles installations : L’Arbrajonc, Le Jécouvert, L’Autocitrouille, L’Observatoire. Les installations réactivées : La Racinante, L’AALU, Les Broglios, Les Droliques. À travers elles, redécouvrez les allées, les arbres, les serres, l’orangerie ou encore les bassins et le jet d’eau.



PARCOURS TEMPORAIRE DANS LA VILLE
HÔTEL DUQUESNE
" HÔTELS ET FAUNES "
PIERRICK SORIN



Dans le cadre de l’édition 2019 du Voyage à Nantes, Pierrick Sorin est invité à investir huit hôtels. Il conçoit pour chacun d’eux une « saynète holographique » : il s’y met en scène dans des situations en relation avec l’univers propre de l’établissement et sous les traits d’un client plutôt atypique, pour qui l’hôtel devient un lieu d’expériences pour le moins décalées, parfois surréalistes ! Tous les personnages ont un point commun : quoi qu’ils fassent, ils utilisent leur téléphone en version « mains libres », plaçant sur leur tête des casques d’écoute aux oreillettes poilues et dont l’arceau est décoré de petites cornes. Ainsi, ils évoquent discrètement ces créatures mythologiques : les faunes. Hôtels et faunes… le sens du titre s’éclaire.
Le lieutenant général des armées navales du roi, Abraham Duquesne, invente une toute nouvelle recette, mêlant fruits exotiques et fromage local, dans l’âtre de la cheminée de l’hôtel…


"LES NIDS "
TADASHI KAWAMATA

Composée de multiples planches du même bois brut, chaque sculpture est construite par l’artiste directement sur le site. Celui-ci assemble et fixe les planches les unes aux autres, en conservant une grande liberté d’action et de geste. Ce processus de fabrication aux possibilités infinies permet d’adapter la forme de la sculpture qui épouse son support.
Inaccessibles et toujours visibles depuis le bas, les Nids appellent à lever le regard. Ils apparaissent comme si le vent avait emporté les planches et les avait entassées pour créer un refuge à l’échelle de la ville. Ces drôles de constructions deviennent alors une excroissance possible du bâtiment sur lequel elles sont venues se fixer.
Tel un écosystème envahissant peu à peu la cité, les Nids de Tadashi Kawamata offrent une dimension poétique et mélancolique à la promenade.



HORS NANTES
DOMAINE DE LA GARENNE- LEMOT GÉTIGNÉ (Clisson)
"LA FOLIE DES FOLIES"
CORNELIA KONRADS





Pour le domaine de la Garenne-Lemot, elle prolonge l’ambition de François-Frédéric Lemot et conçoit de nouvelles fabriques pour le parc. S’inspirant des sculptures présentes ou les détournant, elle crée d’étranges histoires qui plongent dans un univers surréel. Dès l’entrée du parc, Hippomène et Atalante jouent un match insolite et donnent le ton des œuvres disséminées. On y trouve un banc arraché du sol, un tumulte de colonnes, une danse magique de colonnades clissonnaises qui créent un monde mystérieux caché derrière ce parc de statues rappelant le style antique.
Lucho s'étant rendu à Clisson il n'a pas vu l'installation terminée, vous pouvez juste, sur ma photo la préparation de la chose !!!


DOMAINE DE LA GARENNE- LEMOT GÉTIGNÉ (Clisson)
"Précieux poisons d'Amazonie"




Cette année encore, la Villa Lemot offrira un bel écrin aux collections du musée Dobrée mais également aux collections extraordinaires du musée du Quai Branly-Jacques Chirac. Une plongée dans la forêt amazonienne et une découverte des poisons « extraordinaires » qu’elle renferme. Venez découvrir comment l’homme a su profiter de ces ressources naturelles, au premier abord dangereuses, pour se nourrir, pêcher, chasser ou entrer en contact avec les esprits.
Amazonie "Le chamane et la pensée de la forêt" au chateau des Ducs de Bretagne met en avant, en en présentant un ensemble important, et en partie inédit de l’une des plus importantes collections amazoniennes d’Europe conservée par le musée d’ethnographie de Genève.



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