Comme chaque année, à même époque, nous avons rendez vous avec la culture au FHEL pour visiter une exposition...
Très différente de ce que nous avions l'habitude de découvrir ici, généralement un peintre, un sculpteur ...,cette fois
Le FHEL nous offre des "cabinets de curiosité" ... Mon enthousiasme est si peu important qu'elle ne fera pas l'objet d'une page spéciale.
Découvrez cette exposition ci-dessous.
L'exposition est un cabinet de curiosités géant, composé lui-même de divers cabinets.
La scénographie remarquable rassemble 1 500 pièces au travers de 17 univers différents, de la Renaissance à nos jours,
qui proviennent toutes de collections privées (Jacques Attali, Émile Hermès, Miquel Barcelo…) ou de musées nationaux — du Muséum national
d'histoire naturelle à celui de la Chasse et de la Nature, en passant par le musée d'anatomie de Montpellier.
Œil démontable, buste de femme à barbe, chimères empaillées, minéraux millénaires, collections de sabliers…
« C'est une façon de mettre en valeur cette mixité entre art et science, monstrueux et merveilleux, exotique et populaire »,
explique Patrick Mauriès, lui aussi commissaire d'exposition, auteur d'un ouvrage sur le sujet…
et exposant (sous le nom de Collectionneur inexistant). « Ces lieux et biens, très paradoxaux, mettent côte à côte des réalités
qui n'ont techniquement pas de rapport, mais fascinent encore aujourd'hui. »
*
À l’occasion de cette exposition, le FHEL ouvre pour la première fois les portes de la chapelle.
Elle abrite le « cabinet de curiosités » des Leclerc ; la collection d’art sacré d’Hélène et Édouard Leclerc,
de toutes provenances et de toutes époques. Le thème de l’exposition prend ainsi une résonance
intime pour le Fonds de Landerneau.
Cliquer sur la vignette pour découvrir toutes les facettes de l'événement heure par heure.
Lucho c'est seulement interessé à cinq "événements" de cette nuit, il vous les propose en images et vidéos.
À l’heure du départ de cette nouvelle édition de La Nuit du VAN, c’est « hall inclusive » pour tout le monde sur ce
nouveau point de vue permanent sur la ville.
un pot de départ qui donne immédiatement le ton d’une
nuit rythmée par le voyage. en ville et dans l’imaginaire.
À quai comme à bord… une escale à déguster avec accent. sur la proue du maillé Brézé, figure majeure du patrimoine maritime nantais,
paolo Técon accompagné pour l’occasion d’un violoniste, joue une varietnoise italienne qui réveillera peut-être l’etna.
Le public profite du spectacle et d’une ambiance 100% Forza Italia.
face aux 750 statues de l’installation reconstituer de l’artiste stéphane vigny, la performance statues-co, rythmée par une bande son
rappelant le sculpteur au travail, est une relecture en tableaux de scènes de la vie quotidienne qui rythment la place royale.
Pendant deux heures, les façades de la place du Bouffay brillent de mille feux : ceux des boules à facettes agrippées aux balcons.
au cœur de ce cyclone scintillant, Michel de Trentemoult déroule une playlist spécialement imaginée pour cette fête des voisins
pas comme les autres.
Pour l’occasion, éloge du pas de côté de l’artiste philippe ramette est un phare autour duquel le public est invité à venir célébrer la danse.
LES MACHINES DES MAKERS:
alors que la nuit tombe doucement sur le parc des chantiers, l’apéro de
la Branche est l’occasion de voir déambuler les machines des makers :
nomad men, danniel toya, Bankra Bike soundsystem, les aérosculptures, ambox, nyx.
Les matériaux font, depuis toujours, partie intégrante du monde de l’architecte. Ils jalonnent ses recherches et sa pratique,
développent leur propre langage, racontent leur provenance, la richesse et la complexité de leur formation, voire même les
fondements géologiques de la Terre. Ils nous incitent également à repousser les limites de la pratique architecturale, à
inventer, réinventer, réutiliser, adapter, effacer les frontières entreles disciplines et établir de nouveaux liens entre
esthétique, fonction et technique.
À travers des prototypes et fragments de notre recherche, nous proposons une série de cadrages sur nos projets construits
pour traduire notre vision de l’architecture.
D’une part, Variations raconte les histoires dérobées de ces projets,
la complexité de leur mise en œuvre, d’autre part l’exposition vise à créer un rapport tantôt
contemplatif, tantôt dynamique, entre l’architecte et sa quête d’inspiration.
La scénographie suit notre étude des matériaux – le travail d’investigation sur les techniques de production, de finition,
de mise en œuvre, sur les proportions et les nuances, leurs fluctuations sous la lumière ou encore leurs qualités durables ou évanescentes.
Cette rétrospective est un moment pour réfléchir, pour découvrir des histoires inédites, des histoires habitées par l’architecture.
Chacun de nos projets repose sur l’expérimentation, crée un univers dans lequel toutes les composantes sont considérées avec la
même importance. Variations a pour but de dévoiler cette face cachée du travail de notre agence.
"...Si le rire est universel, il précède le langage et nous relie au monde dès nos premiers jours,
il suppose aussi la complicité, le partage or là plus rien d’universel, tout devient relatif !
Comment alors aborder le sujet de l’humour sous l’angle de la photographie ?
Le plus sage est de renoncer à toute tentative de définition et de déporter notre recherche vers
un concept moins sérieux que l’humour : le fun !
Déclinons donc à l’envi les milles nuances de fun que nous offre la photographie,
du regard doux et amusé de Robert Doisneau aux jpeg anonymes et pixellisés qui collectionnent les smileys rieurs sur les réseaux sociaux..
Le Bauhaus – l’école d’avant garde la plus importante du 20e siècle – fut créé en 1919 à Weimar par l’architecte
Walter Gropius. En 1925, il déménagea à Dessau, puis à Berlin, où il fut fermé en 1933 sous la pression des nazis.
Pour tous ceux et celles qui s’intéressent à l’architecture et au design, il est source de nombreuses références
et d’idées. C’est dans les ateliers du Bauhaus que furent crées de nombreux objets d’une conception moderne,
pour un nouveau monde, allant de l’objet de tous les jours à la maison d’habitation.
Un grand nombre de projets, surtout dans le domaine de l’ameublement et de l’architecture, ont acquis une importance historique particulière.
Rendre visible ce qu’on ne veut pas voir, détourner une technologie militaire, exprimer la violence d’une situation et du
regard que nous portons sur elle, pour Richard Mosse, les enjeux et les méthodes n’ont pas bougé.
Il présente au Lieu unique ses deux derniers projets, entamés en 2014 : des Heat Maps (2016-18), photographies tirées de la
série The Castle, et Incoming (2014-17), installation vidéo.
Cette fois, nous ne sommes plus au Congo, mais dans des camps de réfugiés (Grèce, Bulgarie, Allemagne, Liban) – Heat Maps –,
ou le long de leur périple en mer – Incoming. Cette fois, ni rose, ni rouge, l’image, en noir et blanc, irréelle, est obtenue
à l’aide d’une caméra thermique, classée équipement de guerre, « capable de détecter un corps humain à 30 km » :
« une arme au sens propre » (4). Alors que cette technologie est habituellement utilisée pour surveiller les frontières de
l’Europe ou ajuster, de loin, le tir d’un missile, Richard Mosse s’en sert pour nous montrer, concrètement, ce que nos gouvernements
tiennent à distance : ces personnes qui, fuyant la violence d’un conflit ou les conséquences du réchauffement climatique,
migrent en masse
page spéciale : Le Voyage à Nantes 2019
dans le rétro :"la Gazette du Quai n°27( 01 avril - 30 juin 2019)"
