Le musée national des Douanes est un musée d'art et d'histoire inauguré en 1984 dans l'enceinte de l’hôtel des Douanes de Bordeaux.
Il présente l’histoire de l’administration des Douanes — l’une des plus anciennes en France —, de l’époque moderne à nos jours, et à
travers elle une partie de l'Histoire de France.
Le musée est situé dans la halle de dédouanement de l'ancien hôtel des Fermes du Roi qui borde la place de la Bourse.
Ce bâtiment fut construit entre 1735 et 1738 spécifiquement pour accueillir la Ferme Générale, compagnie privée, ancêtre de la douane sous l’Ancien Régime,
qui prélevait pour le compte du roi les droits et taxes sur les marchandises.
Le bâtiment abrite encore aujourd'hui la Direction interrégionale des Douanes de Nouvelle-Aquitaine ; il est classé monument historique
pour ses façades, sa cour et les boiseries d'un ancien salon.
Lucho, n'a rien à déclarer...juste quelques photos non soumises aux droits de douane !!!
Les Bassins de lumières,
le plus grand centre d'art numérique au monde, est situés dans les quatre premières alvéoles de la Base sous-marine de Bordeaux.
Ils présentent des expositions numériques immersives monumentales dédiées aux grands artistes de l'Histoire de l'art et à la création contemporaine.
Les expositions numériques épousent l'architecture monumentale du lieu et se reflétent dans l'eau des quatre bassins ajoutant ainsi
une nouvelle dimension à l'expérience immersive.
La visite s'effectue sur des passerelles au-dessus de l'eau et le long des quais des gigantesques bassins.
Plusieurs expositions pourront être présentées simultanément :
* autour des quatre immenses bassins :
est présenté en continu un cycle d'expositions numériques et immersives alternant une création longue,
consacrée aux grands artistes de l'Histoire de l'art, et une création plus moderne, d'une durée plus courte.
* dans le Cube:
nouvel espace de 220 m2 et de 8 m de haut, dédié aux artistes contemporains de l'art immersif, sont présentées des créations
de talents confirmés ou émergents du numérique.
* dans la Citerne:
nouvel espace de 155 m2 et de 7 m de haut, seront développés les liens entre les oeuvres originales présentées dans les
expositions immersives et leurs musées de provenance.
Monet, Renoir… Chagall, Voyages en Méditerranée
Une immersion dans les chefs-d'oeuvre d'une vingtaine d'artistes : Renoir, Monet, Pissarro, Signac, Derain, Vlaminck, Dufy, Chagall...
À partir des années 1880, la Méditerranée séduit les artistes : délaissant Paris ou le Nord, ils se réunissent le long du littoral,
de Collioure à Saint-Tropez.
L’exposition immersive retrace aussi la fascination pour la Méditerranée de Bonnard et Dufy, pour enfin arriver à l’un des plus grands
coloristes de l’art moderne : Chagall. Le style propre à chaque peintre s’affiche : profond chez Bonnard, insouciant chez Dufy et
audacieux chez Chagall.
Plus de 500 oeuvres, aujourd’hui dispersées à travers le monde, inondent les Bassins de Lumières de leurs couleurs éclatantes et
révèlent les variations de ces grands artistes sur la Méditerranée qui leur a permis d’exprimer toute leur sensibilité.
Yves Klein, l’infini bleu
Cette création d’une dizaine de minutes vous plonge dans la pluralité de l’œuvre de l’artiste, au-delà de son célèbre bleu IKB
(International Klein Blue). On y découvre, entre-autre, l’empreinte du corps avec ses Anthropométries ou de la nature avec ses
Cosmogonies et ses Reliefs Planétaires.
Originaire de Nice, Yves Klein admire le ciel de la Méditerranée et y voit sa première œuvre, l’origine de son inspiration.
Pour lui, « la peinture est COULEUR ». Couleur qu’il va chercher à individualiser, à libérer et à magnifier dans sa forme la plus pure.
Avec Yves Klein, la couleur prend une dimension spirituelle et métaphysique.
Retraçant le parcours de l’artiste et sa quête de l’immatériel, l’exposition immersive dévoile les premières œuvres de l’artiste, les Monochromes,
conçues pour exprimer le monde vivant de chaque couleur mais perçues par le public comme un ensemble polychromatique.
Grâce à une sélection de 90 œuvre et 60 images d’archives, cette exposition offre une immersion totale dans la matière et la sensibilité,
au son montant et vibrant de Vivaldi ou aux rythmes électroniques de Thylacine.
Vingt statues monumentales, en bronze, trônent sur les quais de la Garonneà Bordeaux.
Leur auteur, le Belge Philippe Geluck,en personne, déambulait comme son chat , se mêlant aux promeneurs, surpris:
« Merci de nous les avoir apportées ici » lance une dame. « Nous sommes vos lecteurs fidèles depuis des années. »
Dix mètres plus loin, un cycliste le hèle. « Super ! C’est drôle et ça fait du bien. C’est léger… »
Et Geluck de l’interrompre : « Mmm… 2,5 tonnes quand même ! ».J'ai moi même réalisé une courte vidéo de cette rencontre
entre GELUCK et les fans du CHAT...
à découvrir ci-dessous avec les photos que j'ai réalisées
L'artiste développe une œuvre complexe, d’une abondante diversité, qui s’articule autour de multiples supports. Sculptures en matières
organiques ou artificielles, gouaches, dessins, photographies et objets constituent un ensemble dont la réflexion porte sur l’obscure énigme
d’être au monde.
Ses œuvres se nourrissent autant d’esthétique que d’histoire, de cinéma, de psychanalyse, de philosophie,
de sciences et de bande dessinée.
En émergent d’autres mondes, faussement similaires au nôtre, dans lesquels des personnages hyper réalistes,
dont ce clone à l’effigie de l’artiste au corps réduit et aux multiples vies, sont représentés dans des situations aberrantes et
schizophréniques où plantes vertes, bananes, fromages, vers de terre et cosmétiques fleurissent dans ces fictions à l’humour décapant.
Pour la HAB Galerie, Gilles Barbier montre l’ensemble réalisé jusqu’à ce jour des 24 Pages du Dictionnaire, copies des pages du Petit Larousse
illustré qu’il exécute scrupuleusement à l’encre et à la gouache sur de grands formats depuis près de 30 ans. En écho à cette œuvre majeure
dont le système a été mis au point dans un temps de vacance, celui du dimanche, en parallèle des autres activités créatrices, et sur la
problématique du langage, sculptures et installations plongent le visiteur dans les méandres et divagations.
La visite de Lucho, en images et commentaires !!!
L'occupation du théatre commencée le mercredi 10 mars se poursuit....
Tous les jours à 13 h, c’est l’agora, un débat public se tient sur les marches : Nous avons décidé de choisir des thèmes prédéfinis sans empêcher
les prises de parole. On va monter en puissance." Des performances artistiques sont organisées tous les après-midi.
Ci- dessous une vidéo que j'ai faite samedi, 10 avril 2021.
Le Jardin extraordinaire a été aménagé au sein d'une ancienne carrière de granit désaffectée, la carrière Misery à Chantenay, dont les falaises
d'une hauteur de 25 mètres offrent un tès beau point de vue sur la Loire. Du haut de cette dernière, jaillit une impressionnante cascade qui
fonctionne en circuit fermé avec le bassin et son débit variable, s’arrête ponctuellement.
La légère brume qui en émane, assure aux fougères arborescentes, bananiers, papyrus, lotus et autres gunnéras une hygrométrie salvatrice.
L'implantation de ces espèces exotiques a été possible grâce à la proximité des falaises exposées plein sud qui protégent des vents froids
et restituent la nuit, la chaleur emmagasinée le jour assurant ainsi une température supérieure de 4°C par rapport aux alentours.
C'est le souhait de tenter de recréer l'univers féérique des Voyages Extraordinaires de Jules Verne dont la maison natale est située tout à
proximité qui a par ailleurs guidé le choix de ces plantes luxuriantes.
Le jardin actuel correspond à la 1ère tranche de travaux, l'aménagement se poursuivra jusqu'à l'achèvement de l'Arbre Aux Hérons.
une nouvelle "marche" a été franchie le samedi 24 octobre 2020 jour de l'inauguration de "l'Escalier de la falaise".
Créé par François Delarozière et construit par la compagnie La Machine, l’Escalier de la Falaise,
avec ses 177 marches et ses 28 mètres de dénivelé, est un ouvrage unique qui offre un accès direct du haut du quartier Sainte-Anne au
Jardin Extraordinaire.
Son ascension le long de la roche et l’accès à quatre belvédères permettent de nouvelles vues sur le jardin Extraordinaire et sur la Loire.
Dans le square Schwob, la transformation de l’ancienne guérite en « Phare de la Loire » signe l’achèvement du chemin des 7 belvédères.
Dans le cadre de ce projet est également prévu la réhabilitation de l’immeuble CAP44 entre le boulevard et la Loire.
Classé en raison de son mode construction en structure de béton armé selon le procédé Hennebique (on compte seulement deux bâtiments
dans le monde construits de cette façon), la ville ne souhaite pas le démolir et a validé un projet de réhabilitation pour y déplacer
le Musée Jules Verne.
Pour être le plus complet qu'il soit, notons que le mur d’enceinte de la carrière a été conservé. Il permet aux artistes du street-art
nantais de s'exprimer à travers des oeuvres qui se renouvellent au gré de leurs humeurs et ajoutent à la decouverte sans cesse renouvellée
de ce lieu..."Jules Vernesque" !!!
Sur les hauteurs de la Carrière Miséry, de la rue de l’Hermitage à l’escalier de Lusançay, les belvédères ménagent des points de vue privilégiés sur le site
et la Loire.
Situé en surplomb du Jardin Extraordinaire, ce circuit ressuscite une vieille idée : «Étienne Coutan, créateur du square Maurice-Schwob en 1933,
l’avait déjà imaginé», rappelle le paysagiste Loïc Maréchal, du cabinet Phytolab, concepteur du Jardin extraordinaire.
Après « Rouge #1 » de la plasticienne bordelaise Jessica Hartley, alias Rouge, un nouveau graff monumental habille l'un des murs de Trempolino
c'est la seconde des oeuvres du projet baptisé le Mur de Nantes, mis en oeuvre par le collectif Plus de Couleurs à la demande de la ville de Nantes.
L’idée est que, tous les trois mois, des toiles urbaines rhabillent l’imposante façade en béton (à l’origine un blockhaus) de Trempolino.
C'est au tour de Selah de s'approprier cette toile monumentale pour en faire un univers graphique tout à fait différent.
Avant de se lancer dans sa création, Selah s'est promené autour de Trempolino, pour s'inspirer de l'espace urbain environnant, dans le but de
créer un herbier urbain. « Cet herbier lui permet de détacher des formes, des couleurs pour faire sa réalisation.
Ce que vous voyez là, c'est une extrapolation de formes qu'il a trouvé dans l'espace public » précise Sarah Marouani, du collectif Plus de Couleurs.
Réalisée début avril, cette oeuvre sera remplacée en juillet.
Suite à la pandémie et à la fermeture des musées, galeries salles d'expositions, sur proposition de la Ville de Nantes à exposer dans l’espace public,
la QPN a choisi d’inviter 4 photographes nantais pour un parcours de 29 images réalisées par quatre photographes nantais au long de la Loire,
depuis la pointe est de l’Île de Nantes jusqu’à la mer.
Quatre regards pour donner à voir cet attrait de la Loire, cet appel de l’océan !
L'expo dans le viseur de Lucho
L'Association des Amis de la Cathédrale installe l'exposition « Cathédrale, architecture de lumière » dans le jardin de la Psallette
autour du marronnier central et dans les arches du mur de clôture.
Elle donne à voir une dizaine de photos qui éclairent
l'histoire et l'architecture de ce grand monument nantais, fermé au public depuis l’incendie de juillet 2020.
Lucho n'a pu photographier qu'une partie des panneaux, en cours d'installation. Il "remplira les vides" lors de prochains passage par ce jardin.
Le Jardin des Plantes s’associe au Musée d’arts de Nantes, en échos à l’exposition « L’Âme de la forêt ».
Considérée pendant longtemps comme vierge de toute civilisation, la forêt occupe l'imaginaire humain depuis les origines.
Les Lumières et le romantisme en font l'espace sauvage par excellence, habité par des bêtes sauvages comme le loup,
mais également refuge contre le pervertissement de la civilisation.
Plusieurs oeuvres sélectionnées à partir des collections du Musée d'arts, du 17e au 21e siècles,sont reproduites et exposées
sur des chevalets dans l’allée de la Musique.
Ces oeuvres explorent la richesse
des symboliques se rattachant à la forêt. Elle reste une source d'inspiration privilégiée et sans cesse renouvelée pour
les artistes, en peinture, en sculpture, comme pour Giuseppe Penone qui travaille directement l'arbre, ou même en vidéo
(David Claerbout, Le Moment).
L’Âme de la forêt vous invite à explorer cette « forêt de symboles », qu’évoque Charles Baudelaire dans son poème Correspondances.
Fascinant et mystérieux, l’espace de la forêt est par essence ambivalent. Des mythes à la littérature fantasy, en passant par les contes,
comme Le Petit Chaperon rouge, il est omniprésent.
Milieu propice à la rencontre avec le surnaturel, comme les esprits celtiques de L’âme de la forêt d’Edgard Maxence,
la forêt symbolise également, dans les contes et les récits, le subconscient, la rencontre avec soi-même,
et le lieu de passage de l’enfance à l’âge adulte.
Les photos de Lucho illustreront prochainement ce propos .
SUPER Galerie :
C'est un objet super nomade et super modulable, qui offre la possibilité aux étudiants de montrer leurs productions
plastiques dans des contextes inédits !
SUPER Galerie dépend du Service Culturel du Crous de Nantes - Pays de La Loire.
Elle a été conçue par le collectif VOUS et ScénoT - deux collectifs sortants de l’École d’Architecture de Nantes, avec le concours du
collectif Les Estivants - issu de l’École des Beaux-Arts de Nantes Saint Nazaire.
On peut la croiser à chaque coin de rue, sur une place publique, sur un campus ou au sein d’une école. Se laisser surprendre par son contenu.
Sculpture, projection, peinture, photographie, installation et performance à l’occasion.
SUPER Galerie se veut un outil d’expérimentation, de sa conception, à sa programmation jusqu’à sa diffusion. La galerie soutient
la création étudiante et émergente en défendant la recherche, l’interaction et la mutualisation des compétences.
Tous les étudiants et jeunes artistes sont invités à s’approprier l’objet et devenir le lieu de tous les possibles
Pour en savoir plus, cliquez :SUPER galerie
L'exposition "ANATOMIE DU CIEL"
L'espace 18 est un espace d'exposition qui "prolonge" l'espace Cosmopolis.
Pour sa réouverture, il nous propose une exposition photographique présentée à l'Atelier dans le cadre de la QPN 2020
interrompue par le confinement le 30 octobr 2020.
« Hecho en Barrio », c’est la vie de la jeunesse des quartiers populaires, avec ses bons et mauvais côtés
Ce reportage au long cours réalisé entre 2007 et 2020 par Jean Félix FAYOLLE raconte l’histoire d’une jeunesse vivant dans des quartiers populaires
de San Luis Potosi. Cette ville de deux millions d’habitants avec son agglomération se situe à 400 km au nord de la Ville de Mexico sur l’axe reliant
le nord du pays. Ces quartiers sont donc très exposés aux problématiques de violence, de consommation et de vente de drogues, aux mouvements
migratoires et à la traite humaine.
Le Mexique traverse actuellement un des moments les plus sombres de son histoire moderne avec l’explosion de la violence et de la criminalité,
toujours plus intense d’année en année. Les quartiers sont en première ligne. Depuis quelques années, le trafic et la consommation de cristal meth
fait des ravages avec des conséquences sur la société en termes de sécurité et de santé publique. Les Mexicains pleurent
leurs morts (près de 35 000 en 2019) pendant que le gouvernement est totalement dépassé par ces mafias surpuissantes.
Le Printemps Coréen est le festival de la culture coréenne de l’ouest de la France. Ce huitième rendez-vous avec la culture coréenne à
l’Espace Cosmopolis à Nantes est consacré à "l’art de vivre à la coréenne". Le principe du festival est d'appréhender la culture coréenne
sous différentes formes artistiques.
Cette année, l’équipe du festival vous invite à découvrir une exposition exceptionnelle sur le Minhwa et plus particulièrement "la nature morte"
spécialisée dans les livres, "Chaekgeori".
Les artistes de la peinture Minhwa contemporaine regardent divers aspects du monde à travers la représentation d’un livre comme autant de métaphores
de la vie.
Après la grande exposition à la Bibliothèque nationale de Séoul au printemps 2020, l’exposition est présentée à Nantes avant de l'être à Paris
puis à Madrid cet été.
L’exposition collective ITINÉRANCE/ITINERANCIA rassemble les œuvres de la promotion 2019-2020 des artistes résidents de l’Académie de France
à Madrid, section artistique de la Casa de Velázquez.
Plurielle par définition, l’exposition Itinérance couvre un grand nombre de disciplines, de la peinture à l’art vidéo, en passant par le dessin,
l’architecture et le cinéma. Elle se compose des œuvres de onze artistes membres de l’ Académie de France à Madrid pour l’année 2019-2020,
et de deux artistes respectivement boursiers de la ville de Valencia et de la Diputación Provincial de Zaragoza.
Artistes exposés : Thomas Andrea BARBEY(4 - Intérieur, 4a - Intérieur I) - Pierre BELLOT(9 & 9a - Parc Inondé)
- Marine DE CONTES (1 - La Disparition) - Hugo DEVERCHÈRE (16 - The Far Side)
- Clément FOURMENT(5 & 5a - Les Choix, 6 - Castillo) - Sara KAMALVAND - Leticia MARTÍNEZ PÉREZ*
(14 & 14a - Ja! & Ja,ja!) - Benjamin MOULY - Francisco RODRÍGUEZ TEARE - Guillaume VALENTI (2&2a - Sans Titre)
- Keke VILABELDA*(11, 11a,& 11b - Common Ground) - Justin WEILER(8 - Dédale)
- Katarzyna WIESIOLEK(12 et 12a - Aout II - 13, 13a & 13b - AoutI et Aout II) *(Boursiers annuels -
Diputación Provincial de Zaragoza et Ayuntamiento de Valencia)
À leur côté, seront également présents Laura ORLHIAC (3 - Aldébaran) et Lucas SÉGUY
(10 - Secret, 10a - Almanach II, 10b - Almanach I), tous deux artistes plasticiens, lauréats de la bourse Casa de Velázquez -
Département Loire-Atlantique en 2019 et 2020. Ils présenteront le travail développé lors de leurs séjours respectifs en résidence à la Casa de Velázquez.
25 jeunes du Pôle des Arts Graphique la Joliverie s'étaient rendus en voyage au Japon en février et mars 2020,
juste avant le confinement en France.
Ils avaient alors vécu une expérience particulière marquée évidemment par l'épidémie de COVID-19.
Lors de ce périple, riche de dépaysement et de découvertes, les jeunes ont dessiné, photographiés et filmés leur expérience.
Aujourd'hui, ce carnet de voyage est visible à travers cette exposition réalisée à partir de travaux d’élèves issus de leur
séjour entre Tokyo et Niigata.
Elle regroupe 24 panneaux composés d’illustrations et de photos.
Lucho en a photographié quelques uns.
Sur les thèmes de la mémoire, de la restitution et de la transmission, 9 artistes de la scène internationale invitent à une réflexion sur le patrimoine africain déraciné depuis les colonisations.
Un accrochage d'ouverture :
"On est heureux quand on manifeste" est l'exposition de préfiguration avec les œuvres du Frac.
Cet accrochage d’œuvres récentes de la collection du Frac des Pays de la Loire permet un rodage du
nouvel espace du Frac à Nantes.
Comment mieux expérimenter un lieu d’art contemporain qu’en présentant des peintures, sculptures, photographies…
Cet « accrochage » permet de valoriser quelques œuvres acquises ces dernières années et de préparer, en prenant ses marques, l’exposition d’ouverture
du site du Frac à Nantes qui aura lieu le 2 juillet 2021 avec l’exposition de Rinus Van de Velde, La Ruta Natural.
On est heureux quand on manifeste*, on est heureux quand on montre des œuvres au public !
De ce titre espiègle se dégage une invitation à la douce révolte, comme cet accrochage à découvrir au prisme du sensible et du politique.
C’est aussi bien dans le quotidien que dans un passé collectif, fictif ou réel, que les artistes ont ici puisés leur inspiration.
L’injustice sociale, l’écologie, le langage, le rapport aux technologies et à l’histoire sont autant de thèmes qui transparaissent.
Tantôt enveloppés d’une apparente légèreté, tantôt révélés par l’absurde ou s’affirmant dans leur réalité la plus crue :
les œuvres varient comme les reflets d’identités singulières, façonnées par des imaginaires pluriels.
(*titre éponyme de l’œuvre de Endre Tót)
Après une année 2020 bien compliquée, on peut esperer un été "normal". C'est le pari du
Voyage A Nantes pour 2021 qui se déroulera du 3 juillet au 12 septembre.
en avant première découvrez le voyage 2021 ici
a travers le guide au format pdf mais aussi, pour
les plus presssés d'entre vous, le nouveautés ci dessous énunérées :
Poursuivant sa narration du naufrage de la place Royale , Ugo Schiavi s’attache au personnage de Neptune, figure de proue décrochée de
l’impressionnante épave du bateau naufragé.
Ce personnage, disparu sous la coque du bateau, est ainsi échoué, quelques
centaines de mètres plus loin, sur les bords de Loire, à proximité immédiate de la passerelle Schœlcher.
Il est soumis aux forces des éléments naturels, protagoniste d’un scénario où l’artiste fait dialoguer mythologie, interprétation, fiction et narration.
Deux mètres de long pour 150 kilos... Petit dernier de la famille des Machines de l'île, le caméléon géant fera son apparition en public le 22 mai.
C'est à 2,50 mètres de hauteur, la queue enroulée autour d'une branche, qu'il sortira de son sommeil, se redressera sur ses pattes ou sortira sa
langue pour gober une mouche ! Grâce à des microleds incrustés dans ses écailles, il pourra même changer de couleur pour mieux se fondre
dans son environnement !
Pour la place Graslin, les architectes s’inspirent du rapport à la forme et à l’équilibre des espaces imaginés par l’architecte
Mathurin Crucy, qui dessina la place et le théâtre au 18e siècle, et invitent le public à chausser les patins en installant au centre de
la place une piste monumentale dévolue à la pratique du patin à roulettes.
Promeneurs et sportifs sont amenés à se rencontrer autour d’un track (terrain en forme d’anneau de course) dessiné sur la piste.
L’occasion de mettre à l’honneur une discipline vive et effervescente : le roller derby.
Les spectateurs pourront prendre place sur des bancs aménagés à la lisière de l’installation, ou sur les marches du théâtre devenues
gradins pour une représentation qui se joue en plein air.
S’inspirant du récit archéologique d’anticipation Sécheresse (1964) de l’écrivain J. G. Ballard, Ugo Schiavi créé sur la place Royale
un fragment de monde, à la lisière des temps passé, présent et futur.
Explorant la symbolique fluviale et maritime de la ville de Nantes – dont la fontaine de la place Royale est elle-même une allégorie
dominée par la statue d’Amphitrite, déesse de la mer –, Ugo Schiavi détourne ces symboliques de l’eau, du voyage et de la prospérité
et met en scène un véritable naufrage d’un bateau de commerce fragmenté, percé et rouillé.
Submergeant les statues, cette immense carcasse d’acier est traversée par le flux et le reflux de l’eau qui ruisselle et suinte de toutes parts.
Les visiteurs ont découvert l’année dernière les quatre premières installations de l’exposition :
La Coiffe, Le Ratisseur, Les Enrouleurs et L’Arroseur. Cet été, trois nouveaux personnages viennent rejoindre le groupe :
L’Observateur, Le Passeur, Le Siesteur…
Saurez-vous les reconnaitre ?
L'espace 18 est un espace d'exposition qui "prolonge" l'espace Cosmopolis.
ci-dessous ce que dit l'artiste qui présente
quelques unes de ses photos, en ce moment, dans cette galerie.
"Au gré de mes déambulations photographiques, je me perds souvent dans des espaces incertains d’impressions éphémères.
L’eau, sous toutes ses formes, agit comme un aimant visuel fascinant. Peu importe le lieu des prises de vues car l’eau
se fiche des frontières humaines, c’est le lien mouvant et fragile du système terre qui nous unit."
Début 2019, alors que l’Algérie semblait résignée à se voir imposer un nouveau mandat d’un président muet depuis 2012,
une mobilisation massive a secoué le pays pendant des mois, faisant descendre dans les rues de toutes les grandes villes
du pays des centaines de milliers de citoyens, hommes mais aussi femmes. Même si la situation sanitaire a mis le mouvement
à l’arrêt et que des élections ont porté à la présidence du pays un fidèle du régime, le pays n’est plus le même après ces
longs mois de contestation. L’occasion pour Cosmopolis de faire le point sur la situation de l’Algérie, le plus grand Etat
du continent africain à travers plusieurs regards de photographes.
Les vitrines du passage Graslin sont un lieu en transition face à Cosmopolis et à l'espace 18.
Elles sont actuellement investies par le collectif "Open it" qui propose, jusqu’au 27 juin, une exposition visible à toute heure des travaux de
Mathilde Guillemot et Camille Hervouet à découvrir ci-dessous