Trois repères : le petit, le grand et l’infini.
Deux contraintes : la couleur et l’abstraction.
Voilà le pari que le peintre Philippe Naud a accepté de jouer avec ses pinceaux : passer par un point d’équilibre, tendre le fil pour que
l’imaginaire en bon funambule s’exécute. L’imaginaire, véritable héros, aussi discret que le silence, gardien des portes de notre corps,
visionnaire de l’esprit, suit les lignes et les courbes, laisse libre les couleurs. L’abstraction traduit une pensée en mouvement,
elle révèle l’imaginaire du Chromo-Sapiens qui le guide.
Pour consulter le dossier de presse cliquez sur la vignette ci-contre
Le drapeau arc-en-ciel a flotté dans les rues de Nantes (Loire-Atlantique) le samedi 10 juin à l’occasion de la Gay Pride ou Marche des fiertés.
Cet événement a été créée en 1969 pour mettre en lumière les personnes homosexuelles, bisexuelles, queer ou transgenres et pour demander
l’égalité des droits.
« Ignorance et préjugés entrainent haine et violence » est le slogan de l’édition 2023 de la Marche des fiertés.
« Nous avons fait le constat que plus que jamais nous avons besoin de nous battre, contre la transphobie, toutes les LGBTQIA+phobies,
les discriminations, la désinformation, l’obscurantisme, le recul des droits, l’obsession médiatique… », explique Nosig, le centre LGBT de Nantes.
Débord de Loire, c'est un rassemblement nautique spectaculaire, révélateur des multiples usages de la Loire.
« C’est un événement de joie, de bonheur simple, de positif », (tJohanna Rolland, maire de Nantes et présidente de Nantes Métropole).
Du vieux gréement aux bateaux de servitude portuaire en passant par les voile-avirons de loisirs ou le bateau de course innovant,
Débord de Loire 2023 propose une parade nautique inédite en France.
En réunissant une grande diversité de bateaux et en mettant sur le devant de la scène des bateaux habituellement peu visibles dans
les rassemblements nautiques, Débord de Loire affirme et valorise la richesse de l’estuaire et son identité.
"C’est une grande fête où le temps d’une semaine, on va célébrer la Loire, la découvrir ou la redécouvrir, prendre du plaisir sur
ses bords, voir des bateaux de toutes sortes danser, boire des coups… » ( Loïc Breteau, directeur de l’Association culturelle de l’été)
Ajoutez à cela une météo ensoleillée, quoi qu'un peu venteuse, vous avez là tout les ingrédients pour faire de "" Débord de Loire"
le déclencheur, réussit, d'un été festif et convivial.
À l’occasion des commémorations autour du 10 mai, journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leur abolition,
les Anneaux de la Mémoire et l’association Mémoire de l’Outre-Mer, présentent l’exposition « Tan fè tan, tan kité tan »
du photographe Sylvain Demange dans les douves du château des Ducs de Bretagne.
Le photographe Sylvain Demange met en lumière les traces encore perceptibles ou ressenties de cette histoire, à travers une exposition
photographique en noir et blanc, mêlant portraits et images de vestiges des territoires français des Antilles et de l’hexagone.
Le bisou fait smack ! Le plongeon fait splash ! Le téléphone fait driiing !
Et la créativité fait Chtiiing !
Chtiiing c’est un pouvoir magique, un état d’esprit, une rencontre, un élan, une idée, un déclic. C’est l’écho de la
créativité à la nantaise. Bouillonnante, éclectique, libre, insolite, sans complexe, sans chichi ni tralala.
C’est une créativité qui éclate et éclabousse, qui ose.
C’est le rendez-vous du grain de folie. De ceux qui osent et entreprennent. De ceux qui en ont fait leur métier et de ceux qui pourraient
bien se prendre au jeu. Ce sont 3 jours d’inspiration et de rencontres, une programmation variée
gratuite et ouverte à tous.
Aujourd’hui, le projet des Halles touche à sa fin avec la mise en service des Halles 1&2, inaugurées le mercredi 10 mai 2023.
Elles accueillent une vingtaine d’entreprises qui évoluent dans les industries créatives et culturelles (ICC). Le bâtiment abrite également un
« creative lab » au service des acteurs et des actrices de l’innovation et de la créativité, qu’ils ou qu’elles soient des professionnels
ou professionnelles des ICC ou bien des PMI ou des grands comptes.
Animé par l’association PiNG, le projet Hyperlien, une maison commune des cultures numériques, servira d’atelier de fabrication, d’espace de
formation et de transmission, pour les citoyens et les citoyennes comme les professionnels et les professionnelles.
En complément, 15 espaces événementiels flexibles ont été conçus pour accueillir des manifestations de tous les formats, du workshop en passant
par le séminaire et les événements XXL.
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SUPER Galerie :
SUPER Galerie est un objet super nomade et super modulable, qui offre la possibilité aux étudiants de montrer leurs productions plastiques
dans des contextes inédits ! On peut la croiser à chaque coin de rue, sur une place publique, sur un campus ou au sein d’une école.
Se laisser surprendre par son contenu. Sculpture, projection, peinture, photographie, installation et performance à l’occasion.
C’est un espace qui laisse passer la lumière naturelle ou celle du reverbère. Laisser y pénétrer son regard curieux, pour apercevoir
des formes qui dansent avec le gris couleur trottoir, le vert végétal, le camaïeu du pavé et le noir bitume. SUPER Galerie se veut
un outil d’expérimentation, de sa conception, à sa programmation jusqu’à sa diffusion.
La galerie soutient la création étudiante et émergente en défendant la recherche, l’interaction et la mutualisation des compétences.
Tous les étudiants et jeunes artistes sont invités à s’approprier l’objet et devenir le lieu de tous les possibles.
L'exposition :
La figure du marécage en littérature ou au cinéma est un environnement souvent utilisé pour développer tout un imaginaire d’émotions sombres,
dangereuses, ou de méfiance. Étant un terrain impropre à la culture, les humain.es l’ont décrit comme un lieu de perdition ou de mélancolie,
alors que scientifiquement il est l’un des biomes* les plus riches de notre écosystème ; c’est un lieu de gestation et d’évolution.
Alors, qu’est-ce que cela dit de nous ? Nourri.es des écrits de recherches et des contes, allant de Vinciane Despret, Donna Haraway,
Baptiste Morizot ou encore Shrek, le collectif Impressions Mutantes propose une fiction organique et onirique,
sous la forme d’une installation artistique mêlant sculptures, images et sons.À travers l’exploration de nos sensations au contact du marais,
cette exposition du collectif Impressions Mutantes tente de rendre compte des relations qui nous lient avec ce milieu.<
11e édition
.
Des centaines d'oeuvres d'art à tous les prix, pour tous les goûts, 130 artistes exposants, des atelier démo et participatifs
pour enfants et adultes, la traditionnelle "vente aux en(pas)chères" pour enchérir sur l'art dimanche à 15h, le "salon des croqueurs"
pour repartir avec son portrait en quelques minutes, une fresque participative, un dj, une buvette, des galettes, l'exclusivité de la
sortie du 2e album Hellfest avec dédicaces par ses auteurs, 10 artistes émergents à découvrir.
Lieu de villégiature des Nantais, espace éphémère surprenant et convivial pour les visiteurs qui la découvrent, la Cantine du Voyage est devenue
une étape incontournable du Voyage à Nantes.
En 2013, Nantes est Capitale verte de l’Europe. À cette occasion, Le Voyage à Nantes imagine pour Nantes Métropole La Cantine du Voyage.
En onze saisons, La Cantine du Voyage a su évoluer et se renouveler avec notamment :
. 5 identités graphiques au fil des années
. la création du Potager en 2016
. l’installation de La Colline en 2018
. une nouvelle proposition de restauration depuis 2022
Abritée sous une architecture démontable conçue à partir de serres agricoles, elle s’installe en bords de Loire, longeant Les Anneaux de Daniel
Buren et Patrick Bouchain, sur l’île de Nantes
Le mobilier de l’espace restauration, créé par le label Wudthing, se compose de larges tables en bois brut disposées comme pour un immense banquet.
Les fondamentaux du lieu restent bien sûr en place : le grand bar et le restaurant avec une formule unique.
Dans le cadre de la manifestation Україна Ukraine qui se déroule à l'espace Cosmopolis du 6 avril au 7 mai 2023, une exposition photos
de l’Institut Ukrainien en France est présentée aux mêmes dates sur les grilles du jardin du Muséum.
Depuis le début de l’invasion de l’Ukraine, les troupes russes ont détruit des centaines de monuments historiques, architecturaux et archéologiques du pays.
Le projet Cartes postales d'Ukraine vise à inventorier et montrer au public les dommages causés depuis le 24 février 2022 au patrimoine culturel
ukrainien, un patrimoine millénaire.
L'exposition utilise du matériel de la campagne internationale "Postcards from Ukraine", réalisée par l'Institut ukrainien avec le soutien USAID.
Exposition présentée à Nantes par Cosmopolis (Ville de Nantes) et l'association franco-ukrainienne Tryzub, avec le concours du Muséum d'Histoire
Naturelle de Nantes.
Une promenade inspirée qui vaut le détour!!!
Patrick Garçon a su prendre le temps (trois ans) afin de mener ce projet né lors du confinement. De la chorégraphe Julia Nioche au metteur
en scène Guillaume Gateau, il a su capter « grâce à des moments de complicité », un peu de l’âme de celles et ceux qui rendent la vie plus
belle.
Après le parc de Procé et la Roseraie de la Beaujoire, il investit ce square. « Les jardins sont de magnifiques lieux d’expression »,
confie-t-il.le photographe est allé à la rencontre, sur leur lieu de vie ou de création, de 90 artistes nantaises et nantais du spectacle
vivant ou des arts plastiques pour réaliser autant de portraits, en noir et blanc.
Un mot sur l'association Open It et les "vitrines" :
Open it Introduit une nouvelle temporalité d'expositions et Initie ce dispositif
sous-verre. Mises à disposition de l'association par la Ville de Nantes, les trois vitrines
en enfilade du passage Graslin font l'objet d'une programmation d'installations syncrétiques et autonomes durant toute l'année.
OPEN /IT, décide de penser l'exposition en investissant des lieux ordinaires en les détournant de leur fonction initiale.Décontextualiser
l'œuvre d'art dans des espaces non - habités, constitue l'élément essentiel à partir duquel nous concevons des formes d'expositions de courte durée.
C'est en rapprochant le champ des arts visuels de celui des réseaux de l'immobilier, que nous faisons émerger de nouvelles corrélations et
d'autres formes d'échanges et de créations.
,
Open it bénéficie du soutien de la Ville de Nantes, du Conseil régional des Pays de la Loire, du Département de Loire-Atlantique
et de la Ville de Saint-Nazaire.
Anas Benghanem dévoile une nature fantasmée rêvée avec la machine
L’artiste digital Anas Benghanem présente sa nouvelle exposition solo « Bioformulations » : une collection d’espèces biologiques spéculatives virtuelles,
créées en collaboration avec l’imprévu de la machine numérique.
Dans cette expérimentation, Anas Benghanem construit un système algorithmique capable de générer une infinité de compositions organiques, évoquant et
reproduisant des structures naturelles.
En explorant ce système semi-aléatoire, il se déplace, découvre, et observe les formes de vies imaginaires qui existent entre deux valeurs numériques
au sein de cet espace abstrait. Ces organismes virtuels sont sélectionnés puis identifiés par leur information méta-génétique, une suite de codes
qui permettent de retrouver leur position dans le territoire virtuel.
Notchup est une agence créative indépendante de 40 personnes : un mélange de talents qui mixent les cultures issues du digital,
de la pub, du marketing retail, du design, de la data et du brand content. Un modèle d’agence où l’agilité et la co-création sont
au cœur du mode de fonctionnement.
Dans le cadre de son mécénat, Notchup lance « Vitrines », une démarche engagée pour soutenir les artistes.
Dans le cadre de notre réflexion sur nos engagements sociétaux, nous avons créé « Vitrines », un projet d’envergure visant à offrir aux
jeunes artistes une surface d’expression artistique et une visibilité grand public.
L’idée est de mettre nos locaux à disposition des artistes et de construire avec eux une exposition temporaire.
Une manière pour l’agence de soutenir la création, de faire émerger des talents et d’œuvrer pour que la ville, «l’urbain» soit aussi culturel.
"Vitrines" ce sont 29 panneaux exposés sur 65m de long et déjà 3 saisons :
Saison 1 - Thomas Lodin
Saison 2 - Blanche Daramir
Saison 3 (actuellement) - Candice Roger
Vadrouilles est une exposition en duo de Gaëlle Messager, artiste plasticienne, et Jeanne Minier, artiste photographe.
Explorant la place de la nature et des citoyens dans l’espace urbain, Gaëlle et Jeanne croisent leurs visions et leurs
médiums dans des œuvres à quatre mains.
vec la photographie argentique, le son, l’auto-édition et la rencontre avec les habitants, l’artiste construit sa
photographie dans le but d’immerger le spectateur dans les territoires et la mémoire qu’ils contiennent.
Pour cette 10e édition, le festival offre une place de choix aux arts graphiques coréens avec deux expositions présentées à Cosmopolis
: l’une consacrée au dessin de presse sur le thème K-culture et l’autre consacrée aux illustrations graphiques des contes coréens.
La Vague coréenne (Hallyu) tels que K-pop, K-drama, K-movie et d’autres aspects comme la K-beauty est appréciée aujourd’hui dans le monde entier.
Six artistes représentatifs de l’art de la caricature en Corée sont présents à Nantes pour rencontrer les visiteurs et échanger.
Cette exposition présente des dessins et des caricatures de groupes d’idoles coréennes de la K-pop comme B.T.S, Blackpink et aussi
les personnages principaux des séries et films.
Sisamanhwa, l’association nationale du dessin de presse et de la bande dessinée a été fondée en 2000 pour contribuer à la démocratisation,
à la réforme de la société.
Les étudiants du département de langue et de littérature françaises de l’Université nationale de Chungbuk ont travaillé pendant
plusieurs annnées sur le champ foisonnant des contes fantastiques, maléfiques, macabres, contes amoureux du Chungcheong (province coréenne)
et « mythes et héros légendaires » de leur pays, la Corée.
Rodolphe Meidinger en collaboration avec Jae-Hong KIM (responsable du département Design de l’université), Ko Bong MANN et Tae Il JUNG,
directeur des éditions universitaires de Chungbuk ont donné jour à des expositions et des publications de ces réalisations de grande qualité.
Le titre de l’exposition fonctionne comme un écho aux écrits du neurologue Oliver Sacks, dans lesquels il décrit les affections
« les plus bizarres », comme celle de cet homme qui savait reconnaître la forme simple d’un chapeau mais pas celle de son propre visage.
Les protagonistes de cette exposition imaginent une traversée des états du dessin.
Ici le dessin s’étend hors de la feuille de papier, au croisement de la sculpture, de la peinture ou encore de la vidéo. Qu’il soit d’enfant,
métaphorique, politique, performatif ou chargé de matières,il fragmente les espaces de l’Atelier en autant d’îlots de réalités
figurés, abstraits, intimes et engagés.
L’équipe du château de Nantes s’est tournée vers Barthélémy Toguo pour la 3e édition de sa biennale Expression(s) décoloniales(s).
L’artiste camerounais a partagé l’invitation à cinq de ses pairs, ce qui fait la richesse toute particulière du rendez-vous 2023.
Leurs œuvres sont disséminées au fil des salles du musée – en particulier celles en lien avec la Traite atlantique dont Nantes fut un haut-lieu –
et donnent à réfléchir autrement sur les documents et objets présentés.
J'ai fait le choix de ne photographier que les oeuvres de Barthélémy Toguo et une oeuvre de Kara Walter
Dès
l’entrée, on plonge avec Marcel Dinahet dans l’estuaire de la Loire pour remonter progressivement à contre courant jusqu’à sa
source. Filmée en 1969 par Georges Rey puis en 2021 par Rose Lowder, ces deux adeptes du cinéma expérimental livrent deux visions
très singulières de cette émergence. À cette observation minutieuse de la naissance d’un fleuve – le plus long de France – et des
carnets/partitions de Rose Lowder répondent la barque de Gyan Panchal, l’aménagement de l’espace de Hidetoshi Nagazawa, Alain
Clairet & Anne Marie Jugnet et de Jean-Michel Sanejouand, les longues marches solitaires de Hamish Fulton, les falaises de Rosario López ou
encore les carnets de Jean Fléaca.
On retient une attention certaine portée sur l’environnement commune à tous les artistes présents dans ce double accrochage
Rendez-vous de la création contemporaine,l’exposition collective Itinerancia rassemble, sous le commissariat de Virginie Bourget,
les œuvres de la promotion 2021-2022 des artistes en résidence de l’Académie de France à Madrid, section artistique de la Casa de Velázquez.
C’est aussi l’occasion de découvrir le travail de Julie Maquet, artiste de Loire-Atlantique qui a bénéficié d’une résidence de trois mois à Madrid
avec le soutien du Département de Loire-Atlantique et de la Casa de Velázquez.
ARTISTES EXPOSÉ.ES : Najah Albukai, Carmen Ayala Marìn, Chloé Belloc, Maxime Biou, Lise Gaudaire, Mathilde Lestiboudois, Anna López Luna,
Eve Malherbe, Alberto Martìn Menacho, Adrien Menu, Pablo Pérez Palacio, Arnaud Rochard, Mery Sales
Sur une invitation des Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire et dans le cadre du festival Chtiiing et du Printemps du dessin 2023, Pierre Mabille
investit l’espace du showroom de la Collection située au rez-de-chaussée de l’école d’art de Nantes et propose un dialogue
avec des œuvres de la Collection.
L’exposition déploie une nouvelle série de 40 tableaux et 14 dessins, ainsi qu’une œuvre murale in situ en impression pigmentaire produite à l’école.
Pour cette invitation aux Beaux-Arts de Nantes, l’œuvre dessinée et picturale va entrer en dialogue avec plus de 40 œuvres de la Collection
que Pierre Mabille a choisies pour résonner avec son travail.
Ici, émane d’une part, l’idée des mots – comme matériau – ancrage d’une pensée poétique dans les œuvres composées de mots, images-mots, œuvres-textes,
etc. ; et d’autre part se développe le rapport avec le langage de la couleur avec lumières, décoloration, relations, feux, contrastes…
Un peu plus d’un an après le début du conflit en Ukraine et alors qu’il semble s’installer dans la durée,
l’espace Cosmopolis et ses partenaires Géopolis-Brussels, les associations franco-ukrainiennes Tryzub et Volya,
proposent une grande exposition pour mieux comprendre l’Ukraine à travers son actualité, son histoire et sa culture
Expo 1 : Ukraine, Terre désirée. 2001-2022
À travers la sélection d’une soixantaine de ses photos, le photojournaliste Guillaume Herbaut propose une plongée dans l’histoire contemporaine de
l’Ukraine qu’il photographie depuis le début des années 2000.
En 20 ans, il a assisté à l’extraordinaire évolution de ce pays depuis la révolution orange, celle de Maïdan, l’annexion de la Crimée et la guerre dans
le Donbass, jusqu’à l’invasion russe. Il témoigne surtout de la formidable résistance d’un peuple qui se bat pour sa liberté.
Guillaume Herbaut a reçu en mars 2022 le prestigieux prix World Press Photo,
son dernier ouvrage, intitulé "Ukraine. Terre désirée" a été publié en octobre 2022.
Il est représenté par l’agence VU’.
Expo 2 : Les Roues de l’espoir
Plus d’un an après l’invasion russe, sur les 8 millions de réfugiés ukrainiens qui ont fui leur pays en raison de la guerre, 1 million ont été accueillis
en Allemagne.
C’est à Hanovre en avril 2022 que Thomas Girondel, photojournaliste français, a retrouvé Yurii Korotun, skateur professionnel ukrainien de 25 ans.
Il l’avait rencontré à Kiev, en 2018, lors d’un reportage.
Grâce à un appel aux dons et à la mobilisation des membres du skatepark Gleis D d’Hanovre, Yurii a mis en place des cours de skate gratuits pour les enfants
réfugiés hébergés dans le camp de Messe.
Parce que la pratique du skateboard demande attention et persévérance tout en s’exprimant librement, Yurii offre aux jeunes une bouffée d’oxygène et
un exutoire créatif afin qu’ils oublient, le temps d’un instant, les traumatismes de la guerre et de l’exil.
Expo 3 : Exil(s)
Exil(s) est un projet photographique qui s’attache à montrer le regard que posent les réfugiés sur le monde, après avoir dû fuir leur pays en guerre,
l’effondrement de leur vie sous les bombardements, leur famille souvent en danger, la disparition de leurs proches. Quitter son pays, trouver un pays
d’accueil revenir à une normalité inconnue, sur le plan culturel, social, économique, s’adapter coûte que coûte. Dans l’attente.
Des millions de personnes dans le monde sont obligées de vivre cela dans une précarité terrifiante. Mais cette guerre en Europe, si proche de notre confort,
interroge sur la fragilité de la paix dans un continent dit civilisé. Un continent qui se croyait protégé par 78 ans de paix.
La fragilité de nos certitudes. Selon l’OMS près de 8 millions d’ukrainiens ont été déplacés à travers l’Europe. Certains sont retournés chez eux après
la sidération des premiers mois de cette guerre barbare. Mais l’immense majorité de ces réfugiés vivent ailleurs. Un exil collectif qui se double
d’un exil personnel. La démarche photographique délibérée d'Evelyne JOUSSET veut, dans la douceur et le respect montrer des regards, des situations
volés au quotidien. Car dans un regard se lit toute l’humanité blessée.
L'exposition met en lumière la porosité entre des œuvres issues de la scène urbaine et la collection du Musée d’arts de Nantes.
Du portrait à l’abstraction en passant par la figuration nous aborderons les grands genres picturaux de l’histoire de l’art.
L’exposition, qui regroupe un ensemble d’environ cinquante œuvres allant du 19e siècle à aujourd’hui, présente des personnalités
incontournables de la scène urbaine aux côtés d’artistes majeurs des collections du Musée d’arts de Nantes.
Pour sa grande exposition printemps-été 2023, le Musée d’arts de Nantes explore le caractère profondément humain et sensible de la
sculpture hyperréaliste, née aux États-Unis dans les années 1960 dans un contexte de transformation et de crise sociale et politique.
Seule collection publique française à conserver une sculpture de l’artiste américain Duane Hanson, le Musée d’arts de Nantes explore,
dans sa grande exposition 2023, le caractère profondément humain et sensible de la sculpture hyperréaliste, un mouvement né aux États-Unis
dans les années 1960.
Cet art figuratif, méticuleusement réaliste, propose, par la représentation fidèle des corps, un support de projection, un double, un miroir,
provoquant une rencontre singulière entre le visiteur (regardeur) et la figure sculpture (regardée).
Entre émotion et fascination, entre identification et rejet...
Pourquoi le regard, au-delà de l’intérêt pour la prouesse technique, est-il aussi fortement troublé ? D’où vient la puissance de ces œuvres ?
Où se situe véritablement l’œuvre d’art ? Comment représenter le réel au point de le confondre peut-il engager nos corps et nos émotions ?
En sculptant l’être humain dans une matérialité la plus réaliste qu’il soit, ces artistes parviennent à révéler la part la plus immatérielle
de l’individu : le sentiment, la pensée, l’émotion…
Avec une trentaine d’œuvres de plus de dix sculpteurs et sculptrices internationaux, dont certaines inédites, le Musée d’arts de Nantes place
la sculpture hyperréaliste, jusqu’ici très peu exposée, sur le devant de la scène. Un événement à ne pas manquer !
Pour leur 4ème édition, le collectif "Artistes Femmes" présente les travaux de 6 artistes de Nantes et de sa région, dans une ambiance chaleureuse.
Ce type de sculptures (éphémères)se développe un peu partout en France, dans les villes moyennes et les grandes métropoles...
d'une durée de vie limitée, il est rare que l'on puisse interwiever les auteurs.
l'oeuvre ci dessous a été photographiée dans une rue de Nantes le 17 avril 2023.
L’idée est que, tous les trois mois, des toiles urbaines rhabillent l’imposante façade en béton (à l’origine un blockhaus) de Trempolino.
Le projet baptisé le Mur de Nantes, est mis en oeuvre par le collectif Plus de Couleurs
à la demande de la ville de Nantes.
les oeuvres de 7 artistes se sont déjà succédés sur ce mur : la premiere « ROUGE #1 » de la plasticienne bordelaise Jessica Hartley, alias Rouge,
a cédé sa place à "SELAH #2",remplacée par "SHANE #3" puis "BIMS #4".
du 12 février au 1er avril 2022, c'est "ZEKLO #5 qui s'exposait. D'avril a fin juin ce fut au tour de LesGens #6 de prendre possession du Mur
qu'il va céder le 03/10 pour laiser place à ALFE 6# dont la fresque sera visible jusqu'en janvier 2023.
Depuis cette date jusqu'en avril 2023 on a découvert le travail de "MATTHIEU POMMIER #9", aujourdhui remplacé, jusqu'au 19 juin par
SoemOne #10
Musique issue de la nouvelle scène de jazz londonienne dans les oreilles, SoemOne se laisse envahir par l’énergie de ce flow. Sur un fond noir
uniforme, il peint de grandes courbes à l’acrylique blanche épaisse. Ces spirales, qui se répètent à l’infini, paraissent incontrôlables.
Elles rythment la composition et explosent sur le mur en feu d’artifice. L’énergie déployée et la rapidité d’exécution se devinent à la fois
par l’accumulation des traits et par les traces d’accident, comme les dégoulinures ou les éclaboussures.
L’artiste parvient, par le biais de cette abstraction gestuelle, à retrouver la même énergie qu’il déploie lors de ses graffitis ou de ses tags.
Il maîtrise parfaitement son geste et arrive à l’aide d’une perche et d’un rouleau à tracer des cercles quasiment identiques.