Enfin !
En 1968, j'étais au Mexique et je les ai manqué... l'histoire allait-elle se reproduire en 2024 ? Hé bien ... NON !!!
Car, si nous avons vécu mon épouse et moi,ces jeux grace à une couverture médiatique ou plus exactement télévisuelle, comme la majorité d'entre nous, ,
nous avons eu la chance de partager, in situ, ce moment d'histoire.
Marlène et Julien,
nous ont offert de précieux sésames pour assister à deux événements :
Une demie-finale de Hand-ball Féminin au Stade Pierre Mauroy à Lille et le dernier tour du tournoi de golf féminin au golf national de Guyancourt
(Saint Quentin en Yvelines).
Ce que je retiendrai plus particulièrement de cette expérience, ce sont deux faits différents : une organisation parfaite qui nous a permis d'éviter
le stress et l'ambiance festive et conviviale extraordinaire régnant sur le terrain, lors des épreuves de ces Jeux Olympiques.
Avant de vous faire vivre ces moments de bonheur, je vous propose un petit interlude touristique !!!
A Lille la demie-finale de Hand féminin. (Norvège-Danemark, jeudi 8 août 2024 à 21h30 stade Pierre Mauroy à Villeneuve d'Asque.)
A Saint Quentin en Yvelines le dernier tour du tournoi de Golf féminin (Samedi 10 août 2024 Golf National de Guyancourt - parcours de l'ALBATROS- la partie de la Française Céline BOUTIER.)
Pour l'anecdote :
En arrivant à l'hotel à Montigny le Bretonneux, nous nous sommes aperçu que celui ci etait situé à 50 mètres du vélodrome ou se déroulaient
les épreuves de cyclisme sur piste... Nous nous sommes retrouvé dans les coulisses des jeux !!! Au milieu de quelques "petites" equipes,
les médias, et ... Le QG des forces de l'ordre présentes sur le terrain !
Ce fut notre bonus
"Flux" est une architecture cinétique composée de lignes de lumière en mouvement, motorisées et commandées en temps réel.
Cette installation aux dimensions variables a été présentée dans le monde entier.
Pour Nantes, le collectif imagine une version étendue avec deux sculptures aux allures organiques et un mapping.
Oscillant entre vagues poétiques et ondulations frénétiques, l’œuvre est synchronisée selon une variétéde vitesses, de couleurs et
d’amplitudes. Un véritable ballet de lumière qui, augmenté de projections lasers et lumineuses, dialogue avec la façade de
l’iconique Théâtre Graslin.
Certains phénomènes, qu’ils suivent une logique immuable ou qu’ils défient les lois de la physique, élèvent les objets et les êtres vivants.
Cette lévitation incarne l'évasion en même temps qu’un ordre naturel.
Qu'elle soit le fruit d'une technologie avancée ou d’une odyssée dans l’immensité de l’Univers elle éveille notre curiosité et permet de
prendre du recul sur notre existence.
Les conséquences écologiques provoquées par l'Humanité, nous remémorent notre fragilité face aux forces de la Nature.
Si les promesses techno-solutionnistes et les fables d’un monde fantasmé n’y font rien ,
les artistes se sont emparé·es des technologies pour éveiller les consciences de façon poétique. Tantôt en soulignant le caractère
immémorial du Vivant, tantôt en évoquant les conséquences de l’intervention humaine sur le cycle de la Nature.
De ce chaos, surgit parfois une beauté sauvage, une force brute, quasi mystique qui rappelle la vitalité et la résilience du Vivant.
Face au soulèvement, les pouvoirs en place déploient un arsenal technologique pour maintenir leur emprise. Désormais, les outils numériques sont
au cœur des systèmes de surveillance et du contrôle des masses.
Mais les artistes se sont réapproprié·es ces armes : le hacking sert
autant à dénoncer les violences policières qu’à détourner des barricades en place.
Les artistes font également retentir la voix des peuples opprimés - celles des victimes de systèmes corrompus ou celles d’opposante·s disparu·es
La Commune Libre du Bouffay a été créée le 29 septembre 1974 par Albert Athimon, Frédéric Didier (le sheriff) et Roland Allard (accordéoniste).
Sa devise "Humour, Bonté, Gaieté" traduit parfaitement l'esprit qui préside aux manifestations, concours et actions à caractère
philantropique destinées à animer le quartier du Bouffay, berceau de la Ville de Nantes.
La Commune est administrée par un Bureau assisté par un Conseil ouvert à tout citoyen sociétaire, pourvu qu'il satisfasse aux qualités
d'humour, de bonté, de gaieté qui sont la base des activités de la Commune Libre.
"Les vendredi 6, samedi 7 et dimanche 8 septembre, ce sera le jubilé.
Une retraite aux flambeaux ouvrira les festivités le vendredi soir dans les rues du Bouffay, le samedi, à défaut de vendanges,
les pieds de vignes seront baptisés, au pied du moulin (clin d’œil à la commune libre de Montmartre).
Un défilé, costumé, animera le quartier et revêtira un éclat particulier avec des délégations de l’Association des communes libres de France,
la présence de représentants de confréries vineuses et de bouche ainsi que ceux de notre commune libre jumelle, celle de Montmartre.
Ce défilé sera suivi de la traditionnelle réception à la mairie de Nantes. Le soir, un bal guinguette aura lieu sur la place du Bouffay",
détaille Michel Tizio maire de la commune.
Depuis sa première édition en 2012, Le Voyage à Nantes
lance son parcours estival grâce à une grande fête d’ouverture.
dans toute la ville
La nuit du van que je qualifierai plutôt de "soirée du Van" car elle démarre en fin d'après midi pour se porsuivre jusqu'à minuit ...
je vais essayer de vous présenter, a postériori, les temps forts que j'ai vécus au cours de cette soirée.
Tout a débuté à 17h30, cours Cambronne par les prises de parole de Johanna ROLLAND, maire de Nantes, de Jean BLAISE, directeur général du VAN
et Fabrice ROUSSEL Président du VAN.
Cet instant était empreint d'un peu d'émotion car cette édition du VAN était la dernière de Jean
BLAISE qui prend sa retraite.
sur la photo, de gauche à droite : Jean-Marc EYRAULT -ancien maire initiateur du VAN-, Jean BLAISE,
Johanna ROLLAND et Fabrice ROUSSEL
et c'est parti pour une déambultion à travers la ville, tous derriere la fanfare attitrée de la nuit du VAN : "The Green Line Marching Band" .
On se dirige vers la place Graslin où la fanfare va fusionner avec l’orchestre d’harmonie du troisième cycle du Conservatoire de Nantes
dans l’entrelacement des branches tentaculaires de l’œuvre d’Enrique Oliveira qui "écrase" une foule dense.
Croiserons nous le chemin de cette joyeuse sarabande, pour le moment partie à l'assaut de "l'open bar" mis en place
par la municipalité, lors de la soirée ? Rien n'est moins sûr car nous allons quitter le centre ville pour les bords de
l'Erdre, très précisement le quai Ceineray pour y découvrir la sculpture de sable d'Alioune DIOUF.
quai Ceineray:
"Soigner Loire" Alioune DIOUF, Olive MARTIN et Patrick BERNIER
La Déparleuse, conçue par les artistes Olive Martin et Patrick Bernier est un atelier flottant et naviguant,
amarré quai Ceineray. Dans cette toue cabanée, le duo tisse des œuvres collaboratives, fruits de rencontres
qui bousculent leurs propres formes.
À la suite d’un projet au long court à Dakar, ils se lient d’amitié avec Alioune Diouf, conteur, peintre et
sculpteur sénégalais qui leur propose de « Soigner Loire » avec eux.
Depuis 2023, ce projet revêt plusieurs formes et plusieurstemps forts afin d’envisager dans ses multiples facettes la
signification de cette formule incantatoire.
sculpture de Sable - Alioune Diouf
Alioune Diouf crée une sculpture éphémère, cathartique et votive inspirée des bancs de sable que la Loire découvre lors de
ses plus bas niveaux d’étiage.
L’artiste convoque notre regard sur les atteintes infligées par l’Homme à la Loire et le rôle que le commerce atlantique
et colonial y a joué.
En rattrapant le sable en mer au large de Noirmoutier, et en le détournant de son destin de béton, cette sculpture évoque
également la ressource limitée du sable de Loire dont le voyage vers l’océan a été accéléré par le creusement du chenal de
navigation au cours des deux derniers siècles. Elle sensibilise ainsi à la fragilité des formes de vie qui s’y logent
(oiseaux migrateurs, libellules, araignées, plantes…)
Le mercredi 24 juillet Le sable de la sculpture sera réacheminé par voie fluviale
jusqu’à Ancenis et Montrelais, où il sera cérémonieusement rendu à la Loire
L’Apotheca vient du grec ancien apothếkê signifiant « magasin » ou « entrepôt». Évoquant l’arrière-salle secrète d’un apothicaire
où sont soigneusement stockées les matières premières destinées à la fabrication de potions et de remèdes, cet espace, invisible
aux yeux des clients, est un lieu de préparation, de rangement et d’oubli où chaque élément a sa place et son utilité.
Le collectif HyperTerrier pousse cette métaphore pour explorer la notion de collection et d’assemblage artistique dans une exposition vitrine,
Apotheca se construit autour de la rencontre et de la mise en commun de quatre de ces réserves artistiques. Les membres du collectif,
chacun.e avec sa sensibilité et ses pratiques propres, ont décidé de confronter leurs collections, leurs formes, ainsi que leurs gestes
artistiques. Cette convergence propose des échanges informationnels opérant à des niveaux épistémologiques, formels, morphogénétiques…
par sympathie, analogie, association et projection, et interprète les relations entre les choses.
L’exposition est ainsi le résultat d’un travail de mise en dialogue et en confrontation de ces collections personnelles.
Par des jeux d’assemblage et de juxtaposition, les membres d’HyperTerrier ont cherché de nouvelles significations génératrices de récits
nouveaux à partir de ces objets reposant dans leurs ateliers. Ce processus d’accrochage, pensé comme une expérimentation continue,
s’apparente à la formulation de nouvelles hypothèses artistiques.
Les morts nous entourent, nous accompagnent, parfois nous hantent. Nos plaques de rue, nos cimetières, une bonne partie des œuvres d’art évoquent
les défunts.
S’il y a un universel indiscutable, c’est bien la mort, et pourtant les sociétés humaines, dans le passé comme au présent, ont investi
cette réalité de significations et de valeurs symboliques extrêmement variées.
En France et en Europe le jour des morts semble figé dans un voile gris de tristesse. Mais c’est loin d’être le cas partout.
Au Mexique on fête chaque année les défunts dans la joie, au Guatemala on fabrique des cerfs volants géants et à Madagascar,
on célèbre les morts à travers un rite spectaculaire : le retournement des corps.
Pour cette nouvelle édition de Décryptages, l’espace Cosmopolis et ses partenaires questionnent la mort et la diversité des rites funéraires dans le monde.
Au programme de ces deux mois : expositions, visites, conférences, spectacles, ateliers à Cosmopolis et dans une dizaine d’autres
lieux de la ville et de la métropole.
Dialogues de marbre dans le cimetière Stagliano à Gênes.
Convivialité lors des rites funéraires chez les Toraja, sur l’île indonésienne de Sulawesi où les “morts au balcon” veillent sur les vivants.
Présence des “fardos” des civilisations précolombiennes, momies du désert égyptien ou des terres arides mexicaines.
Réunions autour du défunt dans une maison de Birmanie ou sur la place d’un village au sud de la Chine.
Lieux de vie et de sieste d’un cimetière indien.
Portraits des disparus, image dans l’image pour rappeler que la photographie redonne présence à l’absence.
« Après avoir pratiqué intensément la photographie de voyage dans laquelle, en Noir et Blanc et plus tard en couleur, je privilégiais l’humain,
je me suis tourné vers une photographie plus plasticienne et plus personnelle où l’ailleurs géographique s’estompe et laisse plus de place à
une approche subjective, moins documentaire.
Une photographie dans laquelle les partis-pris formels sont au moins aussi mportants que les sujets eux-mêmes.
Le grain des choses, la présence des lieux peuvent parler avec autant de force des personnes que leur représentation directe car choses et
lieux portent en eux la trace de ceux qui les ont fréquentés, une trace essentielle qui ne se réduit pas aux traits d’un visage ou à l’esquisse
d’une silhouette.
Il s’agit moins de “raconter” que de rechercher au travers de l’image des correspondances, des échos visuels entre la réalité extérieure et
sa propre subjectivité. Une façon de dire “je” sans se dissimuler derrière les sujets représentés. »
J-M.N.
C’est ce cheminement que l’on retrouve dans cette exposition avec des photographies de différentes époques, de différents lieux, mais réunies
ici par le même principe de subjectivité.
Les photographies prises par Jean-Claude Garnier dans de nombreux pays d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et d’Europe évoquent la grande diversité
des solutions trouvées par les différentes cultures pour matérialiser le souvenir du défunt et en manifester sa présence et
sa relation avec les vivants.
Toutes les sociétés humaines sont confrontées au destin de leurs morts et impliquées dans les rituels qui en font des ancêtres.
Devant l’universalité de ce phénomène apparu il y a 100 000 ans, les habitants du monde inventent une multitude de lieux et de monuments
pour honorer leurs défunts et réaliser le passage de l’éphémère à l’éternité.
Chaque cimetière présente ses caractéristiques topographiques, paysagères, architecturales… La beauté étrange des cimetières est la
résultante de plusieurs facteurs : harmonie et composition de l’espace en accord avec le paysage parfois magnifique, parfois oppressant,
solennité ou sentiment en relation avec le mystère de la mort. Une inscription, une photographie, une offrande ajoutent à l’éternité,
la dimension de l’instant.
L’ambiance des villes ou la représentation de différentes cultures sont très présentes dans l’art photographique contemporain.
Les cimetières ont aussi quelque chose d’essentiel à révéler de la présence humaine sur notre planète.
Installations, vidéos et objets par les associations Armadillo, Comal, Muvacan, Pays de la Loire Cameroun et Printemps coréen.
Barriletes : les cerfs-volants du Guatemala, par l’association Armadillo
La fête des morts au Mexique, par l’association Comal
Reliquaires du Gabon, par l’association Muvacan
Funérailles au Cameroun, par l’association Pays de la Loire–Cameroun
Le thème de cette exposition vous semble un peu triste, rebutant, voire carrément effrayant ? Détrompez-vous ! Quand la science s’en mêle, quand les biologistes, les physiciens, les neurologues, les ingénieurs ou les archéologues se penchent sur ce phénomène, il devient surprenant, passionnant, et même parfois – vous allez voir – drôle… Alors entrez sans peur. Venez regarder la mort en face.
Frédéric de la Mure, photographe officiel du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères pendant près de quarante ans,
a capturé les grands moments de la grande et des petites histoires du monde contemporain.
D’une photographie à l’autre, l’Histoire et les petites histoires se croisent et se répondent.
Des dirigeants défilent – de François Mitterrand à Emmanuel Macron, de Barack Obama à Nelson Mandela, de Vladimir Poutine à Václav Havel –
et des inconnus nous interpellent tout comme la relation franco-allemande, les crises de l’ex-URSS et du Proche-Orient...
Il a sélectionné 170 de ses photographies, parfois inédites, parfois célèbres, certains clichés sont insolites, d’autres drôles ou émouvants.
En regard, Frédéric de La Mure raconte les souvenirs et les impressions qu’il garde de ces moments. Le choix qu’il nous livre de ses photographies
n’est pas toujours lié aux événements historiques. Il s’agit aussi d’une plongée dans l’intime, au cours de laquelle Frédéric de La Mure a
voulu mettre en valeur les images qui l’ont le plus touché, celles qui présentent un intérêt esthétique particulier comme celles qui accompagnent
un moment important de l’Histoire.
L’artiste japonaise Makiko Furuichindi, peintre de 37 ans, découvre le quartier Graslin et son patrimoine architectural néo-classique
lorqu’elle arrive du Japon à Nantes en 2009.
La rue Voltaire lui est maintenant plus familière depuis qu’elle fréquente le quartier où son travail est présenté à la
Galerie MIRA ainsi qu’à l’Hôtel Amiral (prochainement Hôtel Billie) qui abrite la chambre d’artiste qu’elle a créée pour Le Voyage à Nantes
en 2019. En outre, depuis 2022 l’artiste conçoit pour l’opéra Graslin les visuels de la programmation annuelle
C'est donc presque naturellement, en s'inspirant des collections et des éléments architecturaux du
Muséum de Nantes, qu'elle peint, en accord avec le muséum d’Histoire naturelle et la galerie Mira. une fresque monumentale sur le trottoir
élargi de la rue Voltaire.
Cette peinture de 50 mètres de long par 3,4 mètres de large à Nantes, part de la création de la Terre
il y a 4,6 milliards d’années, des premiers poissons, des dinosaures…, jusqu’à nos jours, traçant une ligne de l’évolution, artistique
et ludique haute en couleurs !
"On pourra marcher dessus, sautiller de pierre en pierre.
Ce sera en quelque sorte un voyage dans la peinture". Je pense que la fresque pourra tenir environ six mois,
dit - elle encore c
L’artiste intégre à cette fresque peinte au sol, des traces de pas, des empreintes du vivant, réalisées à la peinture blanche cernées de noir,
invitant les promeneurs à marcher dans l’évolution du vivant, profitant de ce nouveau trottoir .
Les empreintes ont été réalisées au pochoir avec un groupe de collégiens et d’élèves de primaire d’écoles du quartier
Graslin, sous forme d’ateliers participatifs les 20 et 27 avril.
j'ai pris quelques photos, il y a quelques jours, de l'oeuvre en cours de réalisation.
L’idée est que, tous les trois mois, des toiles urbaines rhabillent l’imposante façade en béton (à l’origine un blockhaus) de Trempolino.
Le projet baptisé le Mur Nantes (MUR = Modulable, Urbain et Réactif), est mis en oeuvre par le collectif
Plus de Couleurs à la demande de la ville de Nantes.
A travers ce projet, Plus de Couleurs souhaite proposer de l’art accessible à tous, créer la surprise et animer la ville tout en mettant en
lumière la diversité de l’art urbain actuel.
Pour cette 4e saison, la direction artistique, pilotée par l’équipe de Plus de Couleurs, reste la même. Mélange de style et de technique,
artistes confirmés ou émergents, valorisation des différents styles picturaux présents dans l’art urbain et enchaînement permettant une
forte cassure visuelle. C’est cette recette inchangée qui permet au projet et aux artistes de gagner en visibilité et d'être toujours
au plus près du public.
*les saisons #1 et #2 ont été illustrées par « #1 : ROUGE", #2 : SELAH", "#3 :SHANE ", "#4 : BIMS ","#5 : ZEKLO", "#6 : LesGens".
*La 3e saison du projet Le Mur Nantes a été marquée par la présence d’artistes venus de toute part pour proposer des oeuvres uniques et percutantes :
"#7 : ALFE"(Marseille), "#8 Matthieu Pommier" (Bordeaux),"#10 : Soem"(Nantes), "#11 : Iota" (Bruxelles).
*La 4ème saison a débuté par le mur de N.o.Madski également connu sous le nom de Nomad qui a signé l'oeuvre ephémère #12, BOUDA lui
a succédé pour signer #13.
La réalisation de la troisième fresque de la cette saison (#14), a été confiée à "OBISK ".
L'oeuvre #15 (4ème de cette 4èmesaison, est le fruit du travail de BULEA
Liviu Bulea est un artiste roumain né en 1989. Il a étudié à l'Université des arts et du design de Cluj, où il a mené, pour sa licence et
sa maîtrise, une recherche artistique sur le corps malade, en se concentrant sur les souvenirs des espaces et des objets des services
d'oncologie des hôpitaux.
Son domaine de recherche s'étend de la mémoire urbaine à son implication dans la communauté queer. Il est collectionneur et recueille des
histoires, des souvenirs des lieux et des personnes qui l'entourent. Il peut être considéré comme "un artiste d'installation à pratique sociale".
Liviu Bulea récupère des fragments de matériaux apparemment inutiles provenant de contextes précis : un mur de l'hôpital où il a été traité
pour un cancer, le trottoir de la ville où il a grandi et des morceaux de béton d'un centre commercial construit dans sa communauté.
Il a notamment exposé ses œuvres au Urban Nation Museum de Berlin, à l'Institut culturel roumain de Berlin, à l'Institut culturel français de Cluj,
au Musée national d'art de Cluj, au Musée d'art contemporain de Bucarest, au Mumok de Vienne, à Parallel Vienna, à la Biennale de Bucarest, etc.
Il a également été accueilli en tant qu'artiste résident par Kultur Kontakt, Vienne, Styria Art in Residency, Graz, Urban Nation, Berlin, etc.